Emilia Clarke, célèbre à travers le monde pour son interprétation de Daenerys dans la série Game of Thrones, a toujours été une passionnée de bandes dessinées depuis son enfance. Elle a étendu son influence à l’univers cinématographique en apparaissant dans Star Wars, et plus récemment, elle a fait son entrée dans l’univers Marvel avec la série Secret Invasion, diffusée sur Disney+.
Cependant, cette fois-ci, nous la retrouvons sous un nouvel angle, à travers le monde des bandes dessinées. La Mère des Dragons a donné naissance à M.O.M. (Mother of Madness), une mini-série où le personnage principal, Maya, est une mère dotée de super-pouvoirs qui évoluent en fonction de ses émotions et de son cycle hormonal. Notamment, elle devient plus puissante pendant ses menstruations.
Pour ce projet, Emilia Clarke s’est associée à la scénariste Marguerite Bennett (connue pour son travail sur Batwoman et X-Men : Years of Future Past) ainsi qu’à la dessinatrice française Leila Leiz (à qui l’on doit Théophilia Werner et Hadj Moussa). Ensemble, elles créent une œuvre profondément féministe qui subvertit les clichés sexistes en transformant des caractéristiques souvent perçues négativement par une société patriarcale, telles que les règles et les émotions, en véritables super-pouvoirs.
Résumé : M.O.M. Mother of Madness suit les aventures de Maya, ingénieure chimiste le jour, super-héroïne la nuit et maman célibataire vingt-quatre heures sur vingt-quatre ! La jeune femme a des super-pouvoirs qui se manifestent en fonction de ses émotions et particulièrement durant son cycle menstruel. Lorsqu’elle les active pour neutraliser une secte de trafiquants d’êtres humains, nous voilà propulsés dans une comédie d’action qui tient autant de Deadpool que de la série TV Fleabag.