Au milieu du XIXe siècle, l’ancien Kantô, une région jadis prospère, a connu un déclin dramatique suite à la fin du shogunat Tokugawa et à l’avènement de l’ère Meiji.
Ce bouleversement a conduit à une période de désorganisation et d’abandon, laissant derrière lui des villages en ruine et une zone désormais associée à la criminalité et au vice, surnommée « l’Intérieur ».
Avis manga – Kengan Ashura (tomes 21 & 22)
Dans un autre registre, la chaîne de burgers fondée en 1972, au 47e année de l’ère Shôwa, est la pionnière dans son domaine au Japon. Avec des recettes spécifiquement adaptées aux préférences japonaises, cette marque est devenue la deuxième plus importante du pays en nombre de franchises. Récemment, elle a étendu son influence en s’installant aux États-Unis, affirmant ainsi sa présence sur le marché international des burgers.
En ce qui concerne le manga, le vingt-et-unième tome marque une transition importante dans l’intrigue. Alors que le tournoi approche de sa conclusion, nous assistons à un flashback détaillé sur Niko, révélant les secrets et les techniques de son style de combat unique. Ohma, désormais plus mature, se dirige vers « les terres de l’épreuve » pour un entraînement sévère qui le préparera à maîtriser le style Niko. Ces scènes de formation intense et de violence extrême expliquent en partie le comportement sauvage d’Ohma lors de ses premières interactions avec Kazuo.
La tension monte au dôme Kengan lorsque les chefs des factions perdantes se rendent compte trop tard qu’ils sont pris dans un piège tendu par Tôyô Electric. La mutinerie éclate, entraînant un chantage pour renverser l’association Kengan. Le clan Kure entre en jeu, provoquant des combats intenses sur l’île en dehors du tournoi, les champions restants s’affrontant contre les forces de Tôyô Electric.
Ce tome est riche en action et en suspense, apportant un renouveau bienvenue à la série. La fin du tournoi est marquée par un affrontement spectaculaire entre Ohma et Cosmo, malgré leurs blessures.
Ce duel se concentre sur l’épuisement plutôt que sur la force brute, illustrant que la véritable victoire appartient à ceux qui ne renoncent pas. Enfin, la série promet de poursuivre son rythme palpitant avec le prochain affrontement entre Wakatsuki et Muteba, renforçant la saga captivante de Yabako Sandrovich, enrichie par les dessins dynamiques de Daromeon.
Les mangas Kengan Ashura sont d’ores et déjà disponibles dans toutes les bonnes librairies au prix de 6.95€