Fumiya Tomozaki, lycéen sans ambition, est pourtant le joueur numéro 1 du célèbre jeu vidéo Super Attack Families (Atafami). Si dans l’univers virtuel, il excelle, dans la vie réelle, il se laisse submerger par son manque de confiance.
Pour lui, la vie est un jeu truqué où les règles ne lui permettent pas de réussir. Tout change lorsqu’il rencontre le joueur numéro 2, qui se trouve être sa camarade de classe, Aoi Hinami, la fille la plus populaire et brillante de leur lycée.
Avis manga – Tomozaki-kun est un loser ! (tome 1)
Aoi, surnommée « l’héroïne parfaite », est l’opposé de Tomozaki : elle excelle dans tout, que ce soit les études, les interactions sociales ou le sport. Elle considère la vie comme un jeu qui mérite d’être maîtrisé et propose de devenir sa coach pour l’aider à comprendre les règles de la réalité. Elle lui lance alors un défi audacieux : trouver une petite amie en un an. Pour atteindre cet objectif, Aoi met en place une série d’exercices visant à améliorer ses compétences sociales et à renforcer sa confiance en lui.
Ce programme de développement personnel s’apparente à des niveaux dans un jeu vidéo. Aoi établit des objectifs intermédiaires à chaque étape, validant les progrès de Tomozaki au fur et à mesure qu’il acquiert des compétences. De l’apprentissage des bases des interactions sociales à l’engagement dans des relations plus complexes avec ses camarades, Tomozaki progresse lentement mais sûrement sous les conseils avisés d’Aoi.
L’un des éléments captivants de l’histoire réside dans les interactions entre Tomozaki et ses différents camarades du lycée Sekitomo. Chacun a une personnalité distincte, obligeant Tomozaki à adapter son approche et à réfléchir aux meilleures stratégies pour les comprendre et se faire accepter. Au fil du temps, il gagne en assurance et commence à voir la vie sous un nouveau jour, non plus comme une épreuve injuste, mais comme un défi à relever.
L’évolution de Tomozaki et son apprentissage des « règles » de la vie apportent une réflexion intéressante sur le développement personnel. Le lecteur est rapidement captivé par cette transformation progressive, se demandant jusqu’où Tomozaki pourra aller grâce à l’aide d’Aoi. Parviendra-t-il à s’épanouir pleinement dans la réalité, au-delà de son succès dans le monde virtuel ?
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