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Batman – Curse of the White Knight – Sean Murphy livre un récit avec de sombres secrets…

Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d’être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n’a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d’être, il a également durablement saccagé l’image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d’Alfred n’est pas sans séquelle non plus, bien qu’elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d’Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s’être installé à Gotham et adversaire d’un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker.

Extrait – Batman – Curse of the White Knight

Batman – Curse of the White Knight – Avis

Que se passe-t-il lorsque vous perdez pied, lorsque vous êtes incapable de comprendre qui vous êtes et ce que vous êtes censé être dans le monde, un monde où vous pensiez être accueilli à bras ouverts? Parfois, une crise d’identité est tout ce dont vous avez besoin pour emprunter un chemin d’illumination, un escalier vers un but et un engagement. Cependant, quand il y a une personne là-bas qui ferait n’importe quoi pour voir les murs autour de vous s’effondrer, les terres se briser et le plafond tomber sur vous, vous êtes sûrement dans une surprise qui pourrait vous détruire fondamentalement.

Batman: White Knight, écrit et dessiné par Sean Murphy, ainsi que l’histoire en un coup, Batman: White Knight Presents Von Freeze, écrit par Sean Murphy et illustré par Klaus Janson

De quoi parle Batman: White Knight? 

Reprenant là où il en restait dans le volume précédent, l’histoire présente le dernier plan du Joker pour mettre fin à Bruce Wayne et à Batman alors que Gotham City souffre de leur guerre, ses habitants étant incapables de choisir leur camp, luttant pour voir à travers les masques de ces héros et méchants. Malheureusement, les alliés de Batman ont également du mal à reconnaître le bénéfice de son existence, car sa ville voit ses fondations lutter pour rester solides avec le chaos qui vient souvent de sa galerie Rogues. Cette fois-ci, avec Jack Napier réprimé par le Joker, ce n’est qu’une question de temps avant que le chevalier noir découvre les plans du prince clown de Gotham et c’est celui qui déterrera inévitablement des secrets profondément enfouis il y a d’innombrables siècles. Au cœur de ces plans se trouve un croisé religieux profondément trompé bien plus meurtrier que n’importe quel chevalier que Gotham ait jamais connu auparavant. Il se promène sous le nom d’Azrael, et il est venu libérer sa propre forme de purification pour la ville, à commencer par Bruce Wayne.

La liberté créative à laquelle le créateur Sean Murphy a droit avec ces histoires de simulation se déroulant en dehors du canon de DC Comics est une bénédiction pour son imagination alors qu’il déplace le centre d’intérêt de ce dernier arc d’histoire du Joker vers un autre fou connu sous le nom d’Azrael. Comment il relie tous les fils narratifs pour plonger pleinement dans une histoire riche nouvellement conçue uniquement dans le but d’offrir à Gotham City une histoire intrigante mais légèrement tirée par les cheveux concernant ses pères fondateurs est brillante. Le ton donné par cette construction du monde offre des bases fantastiques sur lesquelles construire l’identité de la ville et de ses héros, tout en développant leur sort à travers des conflits intergénérationnels qui semblent continuellement imprégner à travers le temps. Bien que le Joker ne joue pas autant de rôle qu’avant, l’attention portée à la fois sur Batman, Azrael,

Aussi rares soient-elles, pour de très bonnes raisons, il est aussi formidable de voir l’écrivain donner vie à ses propres idées. Dans ce cas, le créateur Sean Murphy accomplit cela avec une quasi-perfection en maintenant la cohérence et la cohérence artistiques tout au long de son histoire. Ses créations de personnages sont également fantastiques, capturant chaque trait significatif de ces personnages à travers ses illustrations détaillées. Le flux narratif est également parfait, permettant à chaque page de créer la tension appropriée jusqu’à ce que des révélations choquantes soient présentées, tout en soulignant méticuleusement les petits détails des expressions faciales et du mouvement des personnages. En fait, il est important de noter que cette histoire s’oriente vers un conte émotionnel plus lourd où les personnages clés sont mis au défi de se faire confiance alors que les tragédies les frappent dos à dos. Le coloriste Matt Hollingsworth peut-il même être oublié dans l’éloge que celui-ci devrait recevoir? Absolument pas. Les couleurs plus sombres, parfois délavées, puis soudainement vibrantes, sont parfaitement contrôlées tout au long de l’arc narratif, aidant immensément les lecteurs à s’immerger dans une histoire ruisselante d’histoire et de mythologie.

Batman: Curse of the White Knight est une excellente suite explorant les sombres secrets de Gotham City à travers la montée d’un chevalier dévot.

 

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