Au sein de la cour impériale, où les complots et rivalités sont monnaie courante, Yuran Gyoku, issue d’une famille de marchands réputés, se retrouve fiancée contre son gré à Kogetsu Haku, le chancelier de droite. Un bouleversement pour cette jeune femme au caractère bien trempé, propulsée dans un univers de concubines, de jalousies et de pouvoir.
Son arme secrète ? 💬 Le sens de la négociation, qu’elle manie avec brio pour se faire une place au sein du harem impérial.
🐉 Dans l’ombre des Carnets de l’Apothicaire
La sortie de La Gardienne des Concubines s’inscrit dans une tendance lancée par Les Carnets de l’Apothicaire, entre historique et fantasy asiatique. Publié depuis 2020 au Japon, ce manga est l’adaptation d’un light novel signé Aki Shikimi, illustré par Izumi, et dessiné par Shiori Hiromoto.
Même s’il est tentant de comparer ces deux œuvres, ce premier tome parvient à poser ses propres bases grâce à :
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Une protagoniste vive et rusée
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Des relations nuancées avec les autres concubines
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Une immersion rapide dans les jeux d’alliance à la cour
🌀 Une touche d’ambiguïté et de mystère
Kogetsu, le fiancé de Yuran, n’est pas un personnage aussi prévisible qu’on pourrait l’imaginer. Son comportement étrange et ambigu laisse entrevoir un développement scénaristique riche pour les tomes suivants. Un élément qui pique la curiosité et donne envie de découvrir la suite.
📖 Une mise en bouche prometteuse
Ce premier volume se veut introductif mais efficace, en posant un cadre intrigant et des personnages intéressants. Le trait élégant de Shiori Hiromoto accompagne bien l’ambiance feutrée et stratégique du palais impérial.
💡 On comprend mieux pourquoi Mana Books a publié d’emblée les deux premiers tomes : la série prend tout son sens une fois les bases posées.
Le manga La Gardienne des Concubines (Tomes 1 & 2), sont disponibles dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 7.95€
