Depuis la nuit des temps les Dieux de L’Olympe s’affrontent pour le contrôle de la Terre. Face à eux se dresse la Déesse Athéna, aidée de ses chevaliers !
Alors qu’un nouvel adversaire entre en scène, interférant dans le court du temps, c’est le futur même des Chevaliers qui se trouve en danger.
Ikki, le chevalier de bronze du Phénix, saura-t-il dénouer les fils du destin ?
Disponibilités :
– Amazon 34,90€
Une véritable victoire culturelle… Firaxis Games, 2K Games et Laced Records ont forgé une alliance tripartite pour déployer la musique de Sid Meier’s Civilization VII sur le format musical préféré de l’histoire : les disques vinyles.
Ce coffret 4LP propose une large sélection de musique de tous les « âges » du jeu, tandis que les pochettes sont ornées de magnifiques illustrations historiques réalisées par l’équipe Firaxis. Couvrant l’histoire de l’humanité et le monde entier, la bande originale de Civilization VII est un album extrêmement ambitieux et impeccablement enregistré de musique du monde et de musique chorale et orchestrale.
Christopher Tin ouvre la bande originale avec le thème principal « Live Gloriously », chanté en grec ancien, vieil anglais, quiché et sanskrit par le Crouch End Festival Chorus. Son morceau « Baba Yetu », générique de Civilization IV (2005) , est entré dans l’histoire en devenant le premier morceau de musique de jeu vidéo à remporter un Grammy Award. Ses compositions sont connues pour leurs ambiances sonores entraînantes et d’inspiration internationale, devenues emblématiques de la série Civilization .
Disponibilité :
– Black Screen Records 48€
Dans ce 16e tome de Réimp’ !, Kurokawa et ses collègues éditeurs font face, encore une fois, à des situations aussi réalistes que déstabilisantes. Malgré leur expérience, les mangakas surprennent toujours : demandes inattendues, doutes, changements de direction… Tout est là pour captiver le lecteur.
🧠 Le récit regorge de thématiques fortes : gestion de carrière, santé mentale, vie privée, ambitions artistiques… Chaque chapitre propose un nouveau cas concret, rendant la lecture fluide et enrichissante.
👩🎨 Parmi les récits marquants, on suit une mangaka en instance de divorce qui retourne vivre chez ses parents. Ce retour en arrière bouleverse son rythme de travail, son moral et sa créativité. Un portrait sincère d’une artiste en perte de repères.
✍️ De son côté, Nakata obtient enfin l’opportunité d’être publié. Ses planches montrent une évolution graphique notable, suscitant admiration… et parfois interrogation.
🔍 L’éditeur Iokibé, figure centrale de la série, commence à réfléchir à du sang neuf pour son magazine Vibes. Il pousse son équipe à débaucher des auteurs et à proposer de nouveaux projets. Ces dynamiques internes enrichissent le récit, tout en montrant les rouages d’un secteur en perpétuelle mutation.
Les sujets abordés sont nombreux mais toujours traités à travers des personnages humains et nuancés. Que ce soit un déménagement, une encyclopédie à rédiger ou des soucis de santé mentale, tout est montré avec tact, sans jamais tomber dans la caricature.
💬 Les dialogues sont naturels, les situations parlantes, et l’évolution des protagonistes se fait sentir à chaque tome.
Bien que les dessins restent grossiers, ils remplissent parfaitement leur fonction. Les émotions passent, les scènes s’enchaînent avec clarté, et le style un peu brut participe au charme de la série. Le tout est dynamique, vivant et instructif.
Encore un excellent tome de Réimp’ !
➡️ Ce 16e volume confirme tout le bien qu’on pense de cette série unique en son genre : éducative, humaine et divertissante. On y apprend autant sur l’industrie que sur les gens qui la font vivre. Un indispensable pour tous les fans de manga, mais aussi pour ceux qui rêvent de travailler dans l’édition.
Le manga Réimp’ ! (Tome 16), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 7.90€
Avis aux fans de Kill Blue, le tome 5 sortira le 2 juillet 2025 aux éditions Crunchyroll. Et pour marquer le coup, l’éditeur a prévu une édition collector… encore bien mystérieuse !
À seulement quelques jours de sa sortie, le flou persiste autour de cette édition spéciale. Crunchyroll n’a toujours pas communiqué de détails concrets : ni bonus, ni visuels complets, ni même de fiche produit sur son propre site officiel.
Tout ce que l’on sait pour le moment, c’est que :
Elle proposera une jaquette alternative inédite ;
Elle sera vendue au prix de 12,49€, soit 5,20€ de plus que l’édition standard.
Un choix qui suscite déjà curiosité… et frustration auprès des collectionneurs, d’autant plus que la série gagne en popularité tome après tome.
Signé Tadatoshi Fujimaki, l’auteur de Kuroko’s Basket, Kill Blue mélange action, humour noir et espionnage, le tout dans un univers scolaire explosif. Le manga séduit pour son concept déjanté : un tueur à gages d’élite se retrouve coincé dans le corps d’un lycéen après avoir été rajeuni… mais continue sa vie de tueur sous couverture au lycée !
🎒 L’arrivée de cette édition collector, même entourée de mystère, montre à quel point la série Kill Blue commence à fédérer une base de fans solide. Espérons que Crunchyroll lève bientôt le voile sur le contenu exact de cette édition spéciale… avant qu’elle ne devienne introuvable !
Bonne nouvelle pour les amateurs de thrillers psychologiques et d’ambiances dérangeantes : le manga Happy Sugar Life de Tomiyaki Kagisora sera enfin publié en version française chez Noeve Grafx, avec un lancement prévu pour août 2025 !
🍭 Petite cerise sur le gâteau : une avant-première est attendue lors de Japan Expo, sur le stand de l’éditeur. Une occasion rêvée pour les fans de découvrir ce titre culte en avant-première !
Happy Sugar Life n’est pas une romance comme les autres. Sous ses dessins doux et innocents, se cache un thriller psychologique angoissant, plein de tensions et de malaises. L’histoire met en scène Satô, une lycéenne au sourire angélique, prête à tout – vraiment tout – pour protéger son « amour pur » envers une mystérieuse petite fille nommée Shio.
Entre folie obsessionnelle, manipulation et violence sourde, le manga joue en permanence avec le contraste entre innocence et perversion. Une œuvre marquante, âpre et fascinante, qui ne laisse personne indifférent.
Titre original : Happy Sugar Life
Auteur : Tomiyaki Kagisora
Prépublication : Gangan Joker (Square Enix)
Période : 2015 à 2022
Nombre de tomes : 11 (série complète)
Adaptation animée : 2018, disponible sur Prime Video
Il s’agit également de la première publication en France de l’auteur, un mangaka dont la carrière a démarré dans les années 2000, et qui s’est forgé une signature unique mêlant esthétique kawaï et propos dérangeant.
Les possesseurs de Zelda: Tears of the Kingdom sur Nintendo Switch 2 peuvent dès maintenant récupérer gratuitement un tout nouveau plan de construction. 🎮
Et pas n’importe lequel : un chariot équipé de rayons laser, à utiliser directement dans votre partie ! Le tout est accessible simplement en scannant un QR code via le système intégré Zelda Notes.
📲 Pour le récupérer, il suffit :
D’ouvrir Zelda Notes (exclusif à la Switch 2)
De scanner le QR code partagé par Nintendo France
Et hop ! Le plan est instantanément disponible dans votre menu Autobuild
Plus besoin de construire manuellement : le véhicule est prêt à l’emploi, il ne vous reste qu’à rassembler les matériaux nécessaires.
Qui peut encore se passer de rayons laser sur son chariot ? 🤔
Scannez le QR Code à partir de ZELDA NOTES pour utiliser ce plan d’assemblage dans The Legend of Zelda: Tears Of The Kingdom – #NintendoSwitch2 Edition. pic.twitter.com/8UXW9iw8Es
— Nintendo France (@NintendoFrance) June 27, 2025
Cette nouveauté s’appuie sur Zelda Notes, une fonctionnalité exclusive à la Nintendo Switch 2, qui fait office de véritable plateforme communautaire.
🔧 Grâce à elle, vous pouvez :
Télécharger des plans officiels de Nintendo
Scanner les QR codes de la communauté
Partager vos propres créations via QR
Et le succès est immédiat ! Sur Reddit, Discord, X.com, les joueurs publient en masse leurs véhicules blindés, pièges explosifs, robots déjantés et avions loufoques. 🛸🔥
Ce cadeau gratuit relance clairement l’envie d’explorer. Le chariot laser proposé par Nintendo est à la fois pratique et redoutable. Parfait pour nettoyer une zone ou traverser les plaines d’Hyrule avec un peu plus de style (et de puissance).
Et avec l’explosion de créations en ligne, le contenu communautaire enrichit considérablement l’expérience de jeu. Une façon maligne de prolonger la durée de vie du titre tout en créant des interactions entre joueurs du monde entier.
La saison 3 de Squid Game, disponible sur Netflix depuis le 27 juin 2025, s’impose comme la conclusion idéale de la série culte coréenne. En six épisodes d’une heure, Hwang Dong-hyuk, créateur, scénariste et réalisateur, livre une fresque finale intense, violente et émotive, dans la droite lignée des deux premières saisons.
On y retrouve les personnages survivants, embarqués dans une nouvelle série d’épreuves encore plus extrêmes, où la mort plane à chaque instant.
Les nouvelles épreuves de la saison 3 frappent fort. On y retrouve notamment une version revisitée de la fameuse poupée géante, annonçant dès les premières minutes une montée en tension vertigineuse.
Les décors sont somptueux, parfois labyrinthiques, et contribuent largement à l’immersion angoissante. Hwang Dong-hyuk élève encore le niveau de cruauté psychologique, tout en accentuant les enjeux émotionnels.
Le casting de Squid Game 3 est impeccable :
Jung-jae Lee brille en joueur déchiré entre espoir et désillusion,
Wi Ha-Joon incarne un policier acharné et touchant,
Lee Byung-Hun, glaçant en maître de jeu,
Et Park Gyu-young, Yu-ri Jo, ou encore Si-wan Yim ajoutent une richesse émotionnelle nouvelle à cette saison.
Chaque personnage apporte une vision différente du désespoir et de la survie, enrichissant l’intrigue jusqu’au final dramatique.
La saison 3 de Squid Game pousse plus loin encore la critique sociale et la réflexion sur l’humanité : jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour survivre ? Pour gagner ? Pour sauver ceux qu’on aime ?
La réalisation est soignée, la musique poignante, et le rythme maîtrisé de bout en bout. La série se termine sur une note sombre, mais porteuse d’un dernier souffle d’espoir.
💡 Avec cette saison 3, Squid Game entre définitivement dans la légende des séries cultes. C’est un adieu percutant, viscéral, et d’une puissance rare.
👉 Si tu n’as pas encore plongé dans cet univers, c’est le moment. Et pour les fans, prépare-toi à un final qui retourne les tripes.
Préparez-vous à frissonner : « Les Intrus – Chapitre 2 » débarque dans les salles françaises le 29 octobre 2025. Réalisé par Renny Harlin, ce nouveau chapitre reprend exactement là où le premier s’était arrêté, avec Maya hospitalisée après les événements tragiques du premier volet.
Une manière immersive de replonger immédiatement dans l’univers angoissant de la saga, entre tensions psychologiques et horreur viscérale.
Au casting de ce second volet, on retrouve Madelaine Petsch, qui reprend son rôle principal, mais aussi Rachel Shenton et Froy Gutierrez. Le scénario est signé Alan R. Cohen et Alan Freedland, déjà reconnus pour leur sens du rythme et du suspense.
Les premières images de la bande-annonce de Les Intrus 2 laissent entrevoir une ambiance plus oppressante encore, avec des décors claustrophobes, une tension psychologique accrue et une mise en scène plus nerveuse.
Sans trop en révéler, le film reprend avec Maya à l’hôpital, traumatisée par les événements récents. Mais le cauchemar est loin d’être terminé… Car les intrus ne semblent pas avoir dit leur dernier mot, et le danger rôde toujours. Entre paranoïa, isolement et révélations glaçantes, ce chapitre 2 s’annonce aussi sombre qu’intense.
👉 Les Intrus – Chapitre 2 promet une horrifique montée en puissance juste à temps pour Halloween. Les fans du premier film devraient y trouver leur compte, avec une suite directe, un casting solide, et une mise en scène plus immersive que jamais.
🗓️ Rendez-vous le 29 octobre 2025 dans les salles obscures.
Dans ce second volume, le parasite Baby, responsable de la transformation des humains en monstres mécaniques, continue de semer la terreur. Mais l’auteur ralentit la cadence des affrontements pour poser les bases d’une intrigue bien plus profonde. On plonge alors dans l’univers sombre et dystopique de Taïwan, un an après l’infection d’Élisa.
Elle semble être la seule survivante capable de cohabiter avec un Baby, ce qui en fait une figure centrale de ce tome. L’intrigue s’épaissit lorsqu’elle rejoint une équipe de scientifiques en mission souterraine, chargés de protéger Alice, une mystérieuse jeune fille aux origines encore floues.
Ce tome 2 est moins frénétique que le précédent, mais pas moins captivant. Il propose une vraie introspection du personnage d’Élisa, confrontée à ses doutes, ses faiblesses et ses démons intérieurs. Le lien qu’elle développe avec Dr-44 et Alice apporte une dimension plus humaine et émotionnelle à cette aventure mécanique.
Les flashbacks sont utilisés avec justesse pour enrichir le passé de certains personnages secondaires, tout en étoffant le lore. L’univers s’assombrit, les alliances se fragilisent et le climax approche à grands pas. Le lecteur sent qu’un point de non-retour est proche.
Un élément particulièrement marquant de ce tome est la perception évolutive des organos, ces mutants mécaniques autrefois perçus comme de simples créatures destructrices. Le récit introduit une nuance morale bienvenue, suggérant que l’ennemi n’est peut-être pas aussi univoque qu’on le pensait. Cela ajoute de la profondeur à l’ensemble et renforce l’attente autour du tome 3.
Côté dessin, le style de Chang Sheng continue d’impressionner. Son trait est dynamique, précis et chargé d’émotion. Les scènes de tension comme les moments de tendresse sont magnifiquement exécutés. Mention spéciale à la séquence entre Élisa et Dr-44, pleine de sincérité et de puissance dramatique, visuellement digne d’un film d’animation de qualité.
👉 Baby – Tome 2 confirme tout le potentiel post-apocalyptique du premier tome. Loin de se reposer sur des affrontements mécaniques spectaculaires, il propose un récit plus profond, des personnages nuancés, et prépare habilement un final prometteur. Vivement la suite.
Le manga Baby (Tome 2), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 14.95€
An 2206. La planète est à l’agonie. Le climat a basculé, les océans ont englouti les terres, et Gaïa, une intelligence artificielle toute-puissante, prédit la fin de l’humanité dans un siècle. Face à cette échéance dramatique, les 16 nations restantes concluent un accord aussi brutal que désespéré : un tournoi mondial où un seul champion par pays combat pour la survie de sa patrie. Les perdants ? Rayés de la carte.
Dès les premières pages, Doomsday War pose un univers futuriste et anxiogène, avec une ambiance pesante mêlant écologie extrême, géopolitique, et violence surnaturelle.
Sous ses airs de shōnen de baston, le manga va plus loin. Il dépeint une critique acerbe de la société, notamment sur la foi aveugle en la technologie, incarnée par la vénération presque religieuse de Gaïa. Pollution, extinction, surpopulation… les thèmes abordés résonnent douloureusement avec notre époque.
Ce premier tome signé Rekkyo Sensen ose beaucoup. Peut-être trop.
L’un des défauts majeurs de ce tome réside dans son rythme saccadé. Les flashbacks, bien qu’utiles pour mieux cerner les motivations des combattants, ralentissent la progression de l’intrigue. Le lecteur se retrouve parfois perdu entre les scènes de combats et les retours dans le passé.
Autre point faible : les explications sur les pouvoirs et le lore. Les notions comme les cellules de Thésée ou l’évolution des héros restent floues. Le tout manque de clarté, même si l’on sent un potentiel énorme pour la suite.
Graphiquement, Doomsday War impressionne. Les transformations, les affrontements chorégraphiés et les décors dystopiques bénéficient d’un trait précis et riche en détails. Les scènes d’action sont dynamiques, et certaines planches sont à couper le souffle.
Mention spéciale pour Hasuishi, représentant du Japon, dont la noblesse et la force d’âme marquent profondément ce premier opus.
👉 Doomsday War tome 1 est un manga ambitieux, entre critique futuriste et combat démesuré. Malgré quelques maladresses dans le rythme et la narration, il pose des bases intrigantes et visuellement prometteuses. À surveiller de près.
Le manga Doomsday War (Tome 1), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 7.95€
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