Les éditions Kana lancent une offre spéciale à ne pas manquer ! Dès le 11 juin, pour l’achat d’un tome de la Star Édition de Slam Dunk, Shaman King, Samurai Deeper Kyo ou YuYu Hakusho, une silhouette du héros principal de la série vous sera offerte.
Une manière originale de célébrer ces licences cultes qui ont marqué toute une génération de lecteurs.
📅 À noter dans votre agenda !
Le tome 2 de Samurai Deeper Kyo – Star Édition sortira le 13 juin, parfait pour profiter de cette offre. Quant aux Star Éditions de Slam Dunk, Shaman King et YuYu Hakusho, elles sont déjà intégralement disponibles en librairie ou sur la boutique en ligne Kana.
⚠️ Stocks limités !
Les silhouettes sont disponibles dans la limite des stocks, et uniquement chez les librairies participantes. Si tu veux agrandir ta collection avec ces objets inédits, ne tarde pas !
Près de 20 ans après la fin de la série originale, CBS Studios travaille sur un reboot de 7 à la Maison, l’une des séries familiales les plus emblématiques de la fin des années 90. Le projet est encore en phase de développement, mais une figure clé est déjà attachée : Jessica Biel, ex-star de la série, revient en tant que productrice exécutive via sa société Iron Ocean.
✍️ Anthony Sparks à l’écriture : vers une réinvention inclusive ?
C’est Anthony Sparks (Queen Sugar), reconnu pour son engagement dans la représentation afro-américaine à l’écran, qui serait chargé d’écrire cette nouvelle version. Un choix fort qui suggère une rupture assumée avec l’image « blanche et tradi » de la famille Camden.
À l’image du reboot de Les Années coup de cœur (2021), cette version pourrait introduire une famille afro-américaine, avec une narration ancrée dans des problématiques contemporaines : inclusion, foi, parentalité moderne…
🎞️ Une série culte au lourd héritage
Diffusée de 1996 à 2007 sur The WB/CW, 7 à la Maison racontait le quotidien d’une famille nombreuse californienne, dirigée par un pasteur bienveillant et son épouse. Créée par Brenda Hampton et produite par Aaron Spelling, la série a compté 11 saisons et a vu émerger des acteurs comme Jessica Biel, Barry Watson ou Beverley Mitchell.
Mais le souvenir de la série est également entaché : Stephen Collins, le père de famille à l’écran, a avoué en 2014 des agressions sexuelles sur mineures — un scandale qui a profondément marqué les fans et les anciens acteurs, aujourd’hui en rupture totale avec l’interprète.
🧭 Une mission difficile mais pas impossible ?
Relancer 7 à la Maison aujourd’hui est un pari risqué. La série originale surfait sur une ambiance feel-good, très « propre », presque irréaliste, difficile à reproduire dans un paysage télévisuel plus cynique et conscient des enjeux sociaux.
Mais si le ton change, si l’écriture suit les préoccupations d’une nouvelle génération, ce rebootpourrait bien trouver son public et faire renaître l’esprit familial… autrement.
Réalisé par Dan Trachtenberg (Prey), Predator : Killer of Killers marque une évolution audacieuse pour la célèbre franchise. Cette anthologie sanglante suit trois des plus féroces guerriers de l’histoire :
Une vikinge en quête de vengeance avec son jeune fils
Un ninja du Japon féodal opposé à son frère samouraï
Un pilote de la Seconde Guerre mondiale confronté à une menace surnaturelle
Trois récits, trois ambiances, mais une constante : le Predator rôde… et il est plus létal que jamais.
👽 Le retour du chasseur ultime… à travers les âges
La bande-annonce met en avant un Predator au sommet de son art, traquant des tueurs redoutables, chacun dans leur propre contexte historique. Mais même les plus aguerris n’échappent pas à l’ultime tueur des tueurs.
C’est une vision plus brute, plus intense, que nous propose Disney+ avec ce film pensé pour les fans d’action, de combats brutaux, et de tension survivale. L’ambiance y est lourde, chargée d’hémoglobine et de fatalité.
🎬 Une anthologie visuellement ambitieuse
La direction artistique impressionne : des décors vikings gelés, des duels au sabre sous la lune japonaise, et un dogfight spectral dans les cieux de 1940. Le film est co-réalisé par Josh Wassung (The Third Floor), avec un scénario de Micho Robert Rutare, inspiré par les personnages de Jim et John Thomas.
Chaque segment propose un style visuel unique, tout en gardant le fil rouge du Predator en embuscade.
📺 Sortie le 6 juin sur Disney+
Predator : Killer of Killers sera diffusé exclusivement sur Disney+ le 6 juin 2025. Cette nouvelle approche sous forme d’anthologie pourrait bien raviver la flamme chez les fans de la première heure comme les nouveaux venus.
Universal Pictures frappe fort avec la nouvelle bande-annonce de Jurassic World – Renaissance. Aux commandes, Gareth Edwards, réalisateur de Rogue One et Godzilla, revient à ses premiers amours : des monstres colossaux et une tension permanente. Le scénario est signé David Koepp, déjà auteur du Jurassic Park original, gage d’un retour à l’essence même de la franchise.
🌴 Une mission d’extraction au cœur de l’enfer jurassique
L’histoire nous embarque aux côtés d’une équipe d’extraction envoyée sur une île secrète, vestige du premier Jurassic Park, désormais transformée en enfer préhistorique. Objectif ? Récupérer des données… mais à quel prix ? Les lieux sont peuplés par des dinosaures génétiquement modifiés, bien plus violents que ceux connus jusqu’ici.
🧬 Des créatures inédites : Mutadons, D-Rex et Mosasaure
Le trailer nous en met plein les yeux : plus de Mosasaure, un D-Rex toujours plus terrifiant, et surtout, l’arrivée des Mutadons, hybrides redoutables entre Ptérosaure et Raptor. Leur agilité et leur intelligence promettent des scènes d’action haletantes, notamment durant la séquence du zodiaque, déjà saluée par les fans pour sa tension palpable.
⭐ Un casting 5 étoiles pour relancer la franchise
Côté casting, le film aligne les talents : Scarlett Johansson, Jonathan Bailey, Mahershala Ali, Rupert Friend, et Manuel Garcia-Rulfo. Une équipe solide, prête à affronter les pires horreurs que l’ingénierie génétique ait pu créer. On s’attend à une dynamique de groupe intense, entre survie, trahisons et secrets enfouis.
🍿 Sortie prévue en juillet : préparez-vous au chaos !
Jurassic World – Renaissance sortira en salles en France le 4 juillet 2025, avec la promesse d’un film plus sombre, plus intense et plus spectaculaire que jamais. Ce nouveau chapitre pourrait bien renouveler l’intérêt pour la franchise, en misant sur une ambiance survival et des créatures inédites à la hauteur des attentes.
La bande-annonce de Ça : Bienvenue à Derry vient d’être dévoilée, et l’univers cauchemardesque de Stephen King n’a rien perdu de sa noirceur. Produite par Andy et Barbara Muschietti, cette série préquelle revient sur les événements surnaturels survenus dans la ville de Derry dans les années 1960, avant les récits connus du Club des Ratés.
🤡 Pennywise, toujours plus inquiétant
Le clown maléfique Pennywise, campé à nouveau par Bill Skarsgård, revient hanter les écrans avec son rire démoniaque et sa présence glaçante. La série semble capitaliser sur les codes visuels et atmosphères qui ont fait le succès des films récents : enfants à vélo, adultes passifs ou complices, disparitions inexpliquées, et bien sûr, le cauchemar vivant dans les égouts.
🐢 Une allusion discrète à La Tortue de l’univers King
Les fans de l’univers littéraire de King auront noté un clin d’œil subtil mais savoureux : sur le panneau d’entrée de l’école, un dessin animé de Bert la Tortue invite à respecter le couvre-feu. Une référence habile à Maturin, l’entité cosmique opposée à Ça dans les romans. Preuve que la série pourrait élargir le lore pour les plus connaisseurs.
🩸 Des symboles familiers et une ambiance pesante
La symbolique du sang, les voix dans les tuyaux, et une jeune fille qui n’est pas sans rappeler Beverly Marsh renforcent les échos aux films et aux romans. La série semble jouer habilement entre nostalgie et nouvelles révélations, avec un soin particulier apporté à la direction artistique rétro des années 60.
📺 Une sortie attendue sur HBO Max
Prévue pour l’automne 2025 sur HBO Max, Ça : Bienvenue à Derry s’annonce comme l’événement horrifique de la rentrée. Que l’on soit amateur de frissons ou lecteur assidu de King, cette série promet une immersion inédite dans l’histoire de la malédiction de Derry.
Fumi Yoshinaga, autrice japonaise de talent, reste encore trop méconnue en France, malgré une œuvre variée et déjà bien fournie. Après All My Darling Daughters, Le Pavillon des hommes et What Did You Eat Yesterday?, elle revient en mai 2025 avec Tamaki & Amane, un one-shot publié chez Soleil Manga, composé de cinq histoires courtes et d’un épilogue.
🌈 L’amour dans toutes ses formes
Ce qui frappe d’abord dans Tamaki & Amane, c’est sa volonté de déconstruire les conventions amoureuses et familiales. Chaque chapitre met en scène deux personnages aux prénoms identiques : Tamaki et Amane, deux prénoms japonais mixtes, que l’autrice utilise pour brouiller les repères de genre.
À travers ces récits, on explore :
L’amour maternel d’une femme pour un enfant qu’elle n’a pas porté
Une passion adolescente entre deux lycéennes
L’attachement profond d’un homme pour un ami perdu de vue
Une errance enfantine dans le Japon des années 1970
Ces nouvelles romantiques et intimistes ont pour fil rouge un questionnement sur l’identité, la tendresse et le lien émotionnel au-delà des apparences.
🕰️ Un voyage à travers les époques
L’autre force de ce recueil réside dans sa dimension historique subtilement intégrée. Chaque récit nous transporte dans une époque différente – de l’ère Edo aux années 70, en passant par le Japon contemporain. Les décors, les vêtements et les dialogues servent habilement à ancrer les émotions dans un contexte social et culturel bien défini.
📚 Une édition sobre mais soignée
Publié par Soleil, ce one-shot bénéficie d’une traduction fidèle, d’un papier de qualité correcte et de planches couleur conservées. Seul bémol : un lettrage parfois difficile à lire, notamment dans les lettres manuscrites. Cela n’altère cependant pas le plaisir global de lecture.
💖 Pourquoi lire Tamaki & Amane ?
✔️ Une narration fine et réaliste ✔️ Une exploration multiple de l’amour ✔️ Un format court mais puissant ✔️ Une reconnaissance critique au Japon
Avec ce tome 7, L’amour est dans le thé surprend une nouvelle fois en mêlant vie rurale et rebondissements inattendus. Alors qu’un typhon s’abat sur les plantations de Chako, le danger devient bien réel, et l’urgence transforme cette douce tranche de vie en moment de tension intense. Heureusement, Jin et Isshin ne sont jamais loin…
Mais ce n’est pas tout : les feuilles sauvées par Chako se révèlent cruciales pour les recherches en laboratoire d’Isshin, qui franchit enfin un cap important dans son projet.
💞 Une romance qui passe la vitesse supérieure
Ce volume marque la fin de la vie à distance entre nos jeunes mariés. D’un mariage de convenance, on passe à un véritable attachement, sincère et touchant. Ce tome agit comme une conclusion d’arc émotionnelle, tout en posant les bases d’une nouvelle dynamique de couple. L’auteur jongle parfaitement entre moments tendres, dialogues sincères et complicité naissante.
🍵 Le thé, entre tradition et compétition
Originalité du tome : une compétition entre producteurs de thé vient s’ajouter à l’intrigue ! Ce passage étonne, mais fonctionne parfaitement, apportant un nouveau souffle à la narration. Les enjeux agricoles et commerciaux prennent de l’ampleur, et offrent un regard passionnant sur le monde du thé artisanal.
Et comme souvent, humour bien dosé, rivalité amoureuse apaisée, et personnages secondaires attachants viennent enrichir l’ensemble.
🎋 Pourquoi on recommande ce tome
✔️ Une romance crédible et attendrissante ✔️ Des rebondissements inattendus pour un manga tranche de vie ✔️ Un cadre original autour du thé japonais ✔️ Une vraie évolution des personnages
Un nécromancien maléfique a tué le roi et emporté la princesse dans la titanesque “tour des dragons” ! La garde royale se lance à son secours mais est mise en déroute par les redoutables monstres qui infestent le bâtiment. Les habitants des villages alentour sont alors mobilisés. L’un d’eux est un jeune homme à la force prodigieuse : Yuva, le héros de cette histoire.
Ubisoft et Laced Records ont renouvelé leur adhésion à la fraternité pour proposer la musique d’Assassin’s Creed Shadows en vinyle. Assassin’s Creed Shadows transporte les joueurs dans le riche décor du Japon féodal, grâce à une bande-son qui utilise des instruments traditionnels ainsi que des techniques de production modernes et ludiques, en clin d’œil à l’époque et aux thèmes de science-fiction et de voyage dans le temps de la série.
Le duo de compositeurs The Flight (Joe Henson et Alexis Smith) revient dans la série Assassin’s Creed pour fournir la bande originale sombre et moderne du jeu. Le duo a collaboré avec des maîtres japonais pour créer une musique subtile et profondément évocatrice qui passe de vastes étendues à un suspense à couper le souffle et à une action explosive.
Le film suit Kate Macer, jeune agente du FBI, idéaliste et volontaire. Divorcée et sans aucune vie de famille, elle ne vit que pour son métier.
Membre de l’unité HRT opérant dans la région de Phoenix dans le sud des États-Unis, elle est confrontée chaque jour à la violence des trafiquants de drogues qui ont transformé la région frontalière avec le Mexique en zone de non-droit. À la suite d’une intervention, elle se porte volontaire pour rejoindre l’équipe de Matt Graver. Leur mission : s’attaquer par tous les moyens au chef du cartel de Juárez.
Face à la barbarie des cartels et au cœur d’un système opaque où l’État américain engage secrètement des sicaires tueurs à gages comme l’équipe de Matt Graver et d’Alejandro pour tuer le chef du cartel, Kate doit remettre en cause toutes ses certitudes si elle veut survivre.