Sur l’île escarpée de Beurk, où depuis des générations Vikings et dragons s’affrontent sans merci, Harold fait figure d’exception. Effacé, écrasé par la stature de son père, le chef de la tribu, Stoïk, ce jeune rêveur défie des siècles de tradition en se liant d’amitié avec un dragon nommé Krokmou. Leur lien improbable va révéler la vraie nature des dragons et remettre en question les fondements mêmes de la société viking.
Disponibilités :
– Fnac 34,99€
Et si le Silver Surfer rendait sa planche, laissant Galactus chercher un nouveau messager à travers la Terre ? C’est le pari de cette anthologie délirante signée Marvel : What If…? Galactus, qui imagine cinq destins alternatifs, aussi fous qu’exaltants. Loin des récits classiques, ce recueil se joue des attentes et propulse des héros bien connus… dans les étoiles !
Au programme de ces 112 pages inédites : Hulk, Gambit, Moon Knight, Rogue et Spider-Gwen, chacun confronté à la tentation cosmique. Le concept est simple mais redoutablement efficace : et si Galactus choisissait son héraut parmi eux ?
Chaque épisode, scénarisé par une équipe différente, propose une vision unique de ce que pourrait devenir un héros une fois transformé par la puissance cosmique. Hulk, déjà incontrôlable, devient une arme vivante apocalyptique. Gambit, voleur au cœur tendre, se voit offrir un pouvoir absolu… mais à quel prix ? Moon Knight, déjà déchiré par ses identités, explose littéralement sous le poids du pouvoir galactique. Rogue, hantée par ses pouvoirs d’absorption, pourrait-elle enfin maîtriser sa malédiction ? Et Spider-Gwen, toujours tiraillée entre son devoir et ses regrets, peut-elle vraiment s’élever au-dessus de la Terre ?
Chaque histoire est autonome, avec un ton propre : tantôt tragique, tantôt épique, parfois drôle ou mélancolique. Et c’est ce qui fait tout le sel de cette anthologie : un melting-pot d’émotions et d’univers, un terrain de jeu parfait pour les auteurs.
Visuellement, le recueil est une réussite. Chaque épisode bénéficie d’un style graphique distinct, adapté au personnage. On passe de la noirceur mystique de Moon Knight à l’esthétique stylisée de Spider-Gwen, en passant par des planches flamboyantes pour Hulk et Rogue. Le tout reste cohérent et généreux, avec un vrai plaisir visuel à chaque page.
Les artistes s’en donnent à cœur joie pour illustrer les transformations, les scènes cosmiques, et les affrontements grandioses entre héros transformés et entités intergalactiques.
Au-delà du fun, What If…? Galactus propose une vraie réflexion sur la nature du pouvoir. Tous ces héros sont brisés ou marqués par leur passé. Les voir confrontés à une puissance quasi divine pousse à réfléchir : le pouvoir rend-il vraiment meilleur ? Ou ne fait-il qu’amplifier les failles ?
Marvel ne répond pas directement, mais laisse le lecteur juger. Et ça, c’est plutôt malin.
What If…? Galactus est une excellente surprise. Non seulement l’idée est originale, mais elle est traitée avec ambition et créativité. Pour les fans de What If, c’est un indispensable. Pour les amateurs de récits alternatifs, c’est un cocktail cosmique explosif. Et pour les curieux ? Une belle porte d’entrée dans l’univers Marvel, par la face galactique.
Après avoir semé le chaos dans Nemesis Reloaded et marqué les esprits dans Big Game, Nemesis, le plus dangereux sociopathe de la planète, revient avec un projet encore plus tordu : se trouver un successeur. Oui, tu as bien lu. Dans Rogues’ Gallery, il ne cherche plus à tuer pour tuer… il veut transmettre. Enfin, à sa manière.
Mark Millar, fidèle à lui-même, ne perd pas de temps avec la nuance : dès les premières pages, on est plongé dans un bain de sang, d’humour noir et de sadisme organisé. Et pourtant, l’idée d’un sidekick du mal rend ce tome plus dérangeant que jamais.
Dans ce récit, Nemesis, brisé physiquement, mais pas mentalement, décide de faire école. Il repère un jeune paumé, qu’il façonne à son image : brutal, impitoyable, détaché de toute morale. Une sorte de Dark Robin sous stéroïdes. C’est aussi grotesque que glaçant, et c’est bien ce qui rend ce comics si captivant.
Là où la plupart des récits de super-héros cherchent la rédemption ou la justice, Millar nous offre une initiation à la cruauté, menée tambour battant. Le scénario est volontairement excessif, les dialogues acides, et les rebondissements délicieusement amoraux.
Valerio Giangiordano met tout son talent dans les planches, avec un trait nerveux, sale et hyper expressif. Son style colle parfaitement à la violence sèche du récit. Les scènes d’action sont viscérales, les expressions faciales cinglantes, et les décors suintent le vice.
Ce n’est pas beau au sens classique du terme, mais c’est puissant, radical, et immédiatement immersif. Chaque page transpire la tension, comme si le lecteur lui-même pouvait être la prochaine victime.
En inversant les archétypes classiques du super-héros et de son apprenti, Nemesis: Rogues’ Gallery propose un jeu de miroir tordu et jouissif. Pas de morale, pas d’espoir, juste une montée en puissance sanglante.
Et c’est là toute la force du Millarworld : provoquer, choquer et divertir, sans jamais s’excuser. Même si certains pourront trouver l’ensemble trop caricatural ou « gratuit », le propos est limpide : et si le mal décidait de se perpétuer comme un art martial ?
Publié chez Panini Comics dans un joli cartonné de 136 pages, l’album regroupe les épisodes US Nemesis: Rogues’ Gallery #1-5, inédits en France. Disponible depuis juin 2025 au prix de 19 €, il s’adresse autant aux fans de Nemesis Reloaded qu’aux lecteurs curieux de découvrir l’un des méchants les plus charismatiques du comic game.
👉 Pour prolonger l’expérience, il est recommandé de (re)lire Big Game et The Ambassadors, autres pièces maîtresses de l’univers Netflix/Millarworld.
Nemesis: Rogues’ Gallery, c’est du pur Millar : excessif, malin, provocant, et surtout, diablement efficace. Entre satire des comics classiques et descente aux enfers stylisée, ce tome se lit d’une traite. On en ressort choqué, amusé, parfois un peu coupable… mais conquis.
– Un monde peuplé de personnages vibrants et raffinés habillés dans un style britannique, avec des illustrations de la célèbre illustratrice Karin Suzushiro.
– Une histoire qui change énormément selon qu’elle accomplit son objectif de vengeance ou qu’elle choisit la voie de l’amour, la « vengeance » étant le thème principal sous-jacent de l’histoire, une rareté parmi les titres d’Otomate.
– En faisant certains choix dans chaque parcours, vous vous retrouverez dans un triangle amoureux avec une autre personne à qui vous aurez attribué un intérêt. Explorez une grande variété de relations, chaque histoire de triangle amoureux ayant ses propres rebondissements.
Disponibilités :
– Amazon 64,99€
– Se battre pour ses idéaux et prouver qu’ils valent la peine d’être défendus : c’est l’appel auquel chaque Screamer doit répondre pour tenter de dévoiler la vérité cachée derrière la course la plus brutale jamais orchestrée et sur son maître du jeu énigmatique
– Faites face à des épreuves où courses extrêmes et mécaniques de combats se mêlent, portées par une intrigue captivante et des personnages iconiques, et faites rugir les bolides les plus stylés pour découvrir les secrets d’un monde inspiré par les animés
Disponibilités :
– Fnac 79,99€
C’est l’heure de replonger dans l’univers de Dragon Ball comme vous ne l’avez jamais vu ! Le tout nouveau DLC “Aventure dans le Domaine des Démons – Partie 1” pour DRAGON BALL Z: KAKAROT x DAIMA est disponible dès aujourd’hui, et il promet une expérience totalement inédite dans les terres sombres du Troisième Monde des Démons.
Dans cette Partie 1, Goku et ses compagnons Glorio, Panzy et Supreme Kai sont frappés d’une malédiction par Gomah, le seigneur démoniaque, qui les transforme en enfants ! Une ruse destinée à les affaiblir… mais c’est sans compter leur détermination.
🎮 Le DLC propose :
Une nouvelle zone à explorer : le Troisième Monde des Démons
Des ennemis inédits comme les Tamagami, gardiens des Dragon Balls démoniaques
Des îles flottantes, des Sky Seeds mystérieuses et des plantes magiques
Privé de ses pouvoirs d’adulte, Goku doit reprendre son célèbre Bâton et adapter son style de combat. Ses nouveaux alliés offrent des compétences d’assistance inédites, introduisant de nouvelles mécaniques stratégiques dans le gameplay.
Et ce n’est pas tout : la salle de Panzy lève le voile sur des histoires totalement inédites, jamais vues dans l’anime. Une nouvelle vision de l’univers de Dragon Ball s’ouvre donc aux joueurs.
Le DLC est accessible hors de l’histoire principale de Dragon Ball Z: Kakarot et est disponible dès maintenant sur :
PS5, PS4
Xbox Series X|S, Xbox One
Nintendo Switch
PC
Alta, désormais pleinement accepté par Iris, la Princesse Épéiste, mène sa mission à son paroxysme. Avec l’aide d’Aria, l’ancienne assassin devenue alliée, il met en place un plan audacieux pour contrer la Légion, l’organisation meurtrière qui menace Iris. Cette dernière, déterminée, accepte de se servir comme appât… jusqu’à ce que l’impensable survienne : l’homme qui la traque est Adil Gratz, le meurtrier de son père.
Le choc est brutal, les émotions déchaînées : Iris brandit Éclair Pourpre, la lame de son père, pour réclamer vengeance. En écho, Alta dégaine Souffle Iridescent, son arme mythique d’une vie antérieure. Deux combattants, deux générations de Maîtres-Épéistes, unis pour un combat final aux enjeux personnels et symboliques.
Si l’on devait résumer ce dernier volume en un mot : combat. Chaque page explose d’action, les duels s’enchaînent avec une intensité rare. Le rythme est effréné, sans temps mort. On est happé par la mise en scène, avec des plans spectaculaires, des enchaînements nerveux, et une tension dramatique qui ne relâche jamais.
Même si certains retournements sont attendus, la question reste : comment tout cela va-t-il se conclure ? Et surtout, à quel prix ? Les émotions montent, l’adrénaline est constante, et chaque coup porté résonne autant dans le cœur des personnages que dans celui du lecteur.
Ce tome final conclut une saga courte mais dense. Le regret ? Qu’elle ne dure que trois volumes. On sent que l’univers aurait mérité davantage de développement, de nuances, de temps. Mais malgré cette fin un peu rapide, le tout reste cohérent, efficace et très agréable à lire.
Les personnages sont attachants, les liens entre eux bien construits, et le dessin sublime chaque scène d’action. The Reincarnated Swordmaster laisse une impression durable, avec un trio principal (Alta, Iris, Aria) aussi fort que complémentaire.
Le manga The Reincarnated Swordmaster (Tome 3), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 6.95€
Tandis qu’une brume étrange semble envelopper une petite ville du Maine, David Drayton et son jeune fils Billy se retrouvent pris au piège dans un supermarché, en compagnie d’autres habitants terrorisés. David ne tarde pas à s’apercevoir que le brouillard est peuplé d’inquiétantes créatures…
Leur seule chance à tous de s’en sortir consiste à s’unir. Mais est-ce possible quand on connaît la nature humaine ? Alors que certains cèdent à la panique, David se demande ce qui est le plus effrayant : les monstres qui rôdent dans la brume ou ses semblables réfugiés dans le supermarché ?
Disponibilités :
– Fnac 44,99€
Kaboul, 15 août 2021. Alors que les troupes américaines s’apprêtent à quitter le territoire, les Talibans prennent d’assaut la capitale et s’emparent du pouvoir. Au milieu du chaos, des milliers d’afghans tentent de se réfugier dans le dernier lieu encore protégé : l’Ambassade de France. Seuls, le commandant Mohamed Bida et ses hommes en assurent la sécurité. Pris au piège, il décide de négocier avec les Talibans pour organiser un convoi de la dernière chance avec l’aide d’Eva, une jeune humanitaire franco-afghane. Commence alors une course contre la montre pour évacuer les réfugiés jusqu’à l’aéroport et fuir l’enfer de Kaboul avant qu’il ne soit trop tard.
Disponibilités :
– Fnac 19,99€
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