À l’instar de tous les isekai (qui signifie « autre monde » en japonais), I’m standing on a million lives retrace les aventures d’un collégien transporté dans un autre monde.
Mais contrairement à de nombreuses œuvres de ce genre, Yûsuke peut retourner dans son monde une fois la quête attribuée par un étrange maître du jeu accomplie par lui et ses coéquipiers. En effet, Yûsuke est d’abord invoqué avec deux camarades du collège, deux filles de sa classe à qui il n’a jamais adressé la parole car Yûsuke est un vrai solitaire complètement misanthrope. Passionné de jeux en ligne, il va pouvoir mettre en pratique toutes les compétences qu’il a acquises au fil des ans et ce malgré le rôle peu évolutif qui lui a été attribué en début de quête : paysan.
Enfin, Yûsuke se rend vite compte que ces quêtes ne sont pas des jeux anodins car si jamais tous les équipiers venaient à mourir dans l’autre monde : tous mourraient dans la vie réelle, alors que si l’un d’eux survit, ils survivent tous… de quoi forger l’esprit d’équipe !
Résumé : Collégien en troisième, Yûsuke vit en marge de ses camarades. Ce garçon n’existe que devant sa console, à exceller aux jeux vidéo. Un jour, l’impossible se produit : Yûsuke se retrouve transporté dans un autre monde qui a tout d’un RPG ! Accompagné de Iu et Kusue, deux filles de sa classe, il va devoir user de son expérience de gamer pour accomplir des quêtes et sauver Tokyo. Seulement, ce joueur solo, aussi rationnel qu’insensible, peut-il prétendre à l’étoffe d’un héros ?
