Quelques mois après les événements de Black Panther : Wakanda Forever, la brillante Riri Williams fait son retour dans une série solo. Ingénieure de génie, virée du MIT, Riri tente de s’imposer comme nouvelle héroïne high-tech du MCU. Mais entre magie, technologie, IA et réseaux sociaux, Ironheart cherche encore sa voie.
🎓 Elle bricole des armures dans son garage, rêve de sauver le monde et croise un vilain improbable : The Hood, un méchant capé qui frôle le ridicule.
🎭 Une série qui divise : entre ambition et confusion
Dès le départ, Ironheart a fait parler d’elle :
❌ Repoussé plusieurs fois
❌ Décrié pour ses effets spéciaux bas de gamme
❌ Accusé de « checklist wokisme »
Et pourtant, ce n’est pas le naufrage annoncé.
💎 Dominique Thorne incarne avec justesse une Riri attachante, vulnérable, mais combative. Son syndrome du survivant, abordé avec sensibilité, apporte une vraie profondeur.
Mais… l’écriture n’est jamais à la hauteur de son ambition.
⚔️ Un antagoniste qui manque d’impact
Face à elle, The Hood (interprété par Anthony Ramos) manque cruellement de charisme. Sa cape rouge et son jeu fade le rendent plus risible que menaçant. Dans un univers où les méchants font souvent la force des récits Marvel, c’est un vrai frein.
🛠️ Exemple frappant : une scène censée démontrer le génie de Riri la montre ouvrir un ascenseur avec une barre métallique… Une idée fainéante qui résume bien le ton général.
🎬 Un long teaser pour le MCU
La série ne s’ennuie pas, mais elle ne captive jamais vraiment. On devine vite que Ironheart n’est qu’un prétexte pour planter des graines narratives dans le MCU.
📌 Pas de saison 2 prévue
📌 Une scène post-générique prometteuse, mais floue
📌 Et surtout, aucun vrai enjeu marquant
🎯 Verdict : une mini-série bancale, mais pas inutile
👉 Ironheart ne révolutionne rien, ne brille pas, mais introduit un personnage important avec honnêteté. Pour les fans du MCU, c’est un épisode de transition. Pour les autres, ça manque clairement de souffle.
