Une nouvelle ère pour Percy Jackson : Révélations sur la série Disney+

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Il est annoncé un changement majeur dans l’univers de Percy Jackson. Après une décennie depuis les films qui n’ont pas atteint les sommets espérés, Disney décide de redonner vie à cette mythologie à travers sa plateforme Disney Plus.

Cette tentative de revitalisation est confiée à Walker Scobell, un jeune acteur révélé dans le film Netflix, The Adam Project.

Scobell incarnera le rôle du jeune héros mi-divin dans la série Percy Jackson et les Olympiens, aux côtés d’Aryan Simhadri (alias Grover Underwood) et de Leah Sava Jeffries (qui reprendra le rôle d’Annabeth Chase). La bande-annonce, nouvellement dévoilée, suggère que la série ne cherchera pas à réinventer les histoires originales de Rick Riordan. On assistera à la révélation de la vérité sur le père de Percy par le biais de sa mère. La quête du jeune héros le mènera ensuite vers le camp réservé aux enfants engendrés par les dieux de l’Olympe, une initiation nécessaire.

L’intrigue pivotera autour de la mission de Percy consistant à récupérer la foudre de Zeus, un élément crucial pour éviter un conflit aux proportions bibliques.

La vidéo teaser révèle également la présence de Lin-Manuel Miranda sous les traits facétieux d’Hermès, tandis que Toby Stephens incarnera le puissant Poséidon, père de Percy. Jason Mantzoukas prendra le rôle de Dionysos, Jay Duplasss celui d’Hadès, et le regretté Lance Reddick de la saga John Wick, dans le rôle de Zeus, bien que l’acteur soit décédé depuis.

Retour éxplosif : Chicken Run 2 dévoile sa nouvelle aventure!

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Après une période de plus de deux décennies, le retour tant espéré de Ginger et Rocky est enfin une réalité. L’odyssée de cette poule et de son coq bien-aimé se poursuit dans Chicken Run 2, une nouvelle aventure qui survient après les péripéties du premier opus.

Nos protagonistes évoluent désormais aux côtés de leur fille, Molly, au sein d’une réserve ornithologique paisible, ayant triomphé de l’oppression de l’élevage de Tweedy. Cependant, l’âme curieuse de Molly la pousse à vouloir explorer le vaste monde qui s’étend au-delà.

Malheureusement, cette quête pour découvrir l’inconnu se transforme en cauchemar lorsque Mme Tweedy intervient, kidnappant Molly pour la vouer à une destinée tragique en tant que morceaux de Nuggets. Face à cette menace imminente, comment sauver la jeune Molly de ce funeste destin ?

Chicken Run : La menace nuggets, la suite tant attendue du chef-d’œuvre d’animation en stop-motion, est orchestrée par le studio Aardman et dirigée par le réalisateur Sam Fell, reconnu pour son travail sur Souris City. Cette nouvelle escapade promet un casting vocal de choix, avec l’arrivée de Zachary Levi, Thandiwe Newton et Bella Ramsey.

La date à retenir est le 15 décembre, date à laquelle ce nouvel opus sera disponible sur la plateforme Netflix. Cette suite suscite déjà une grande excitation parmi les fans qui attendent avec impatience de retrouver l’univers charmant et captivant de Ginger, Rocky et leurs compagnons à plumes, tout en espérant une issue favorable pour Molly, menacée par l’avidité et la cruauté de Mme Tweedy.

La sortie du film d’animation Nicky Larson – City Hunter: Angel Dust confirmée pour 2024 en France

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Il y a confirmation de la sortie dans les cinémas français pour l’année 2024 du film d’animation Nicky Larson – City Hunter: Angel Dust par l’éditeur AllTheAnime. La date précise de cette diffusion est fixée au 24 janvier 2024. Ce nouveau long-métrage s’inspire du manga célèbre City Hunter de Tsukasa Hojo. En parallèle à cette annonce, un résumé officiel a été révélé.

Concernant l’équipe impliquée dans ce projet, le studio Sunrise prend en charge la production de l’animation tandis que le scénario est entre les mains de Yasuyuki Mutô. Pour la réalisation, Kenji Kodama, déjà aux commandes du précédent film d’animation Shinjuku Private Eyes de cette licence, a été à nouveau désigné pour ce poste. Notons que Angel Dust a été diffusé au Japon en septembre dernier.

Plongée terrifiante : Junji Ito dévoile « Carnage » chez Mangetsu le 14 février

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D’ici le 14 février, les lecteurs auront droit à une expérience singulière avec la sortie imminente de Carnage, le dernier ouvrage de Junji Ito, maître incontesté de l’horreur, chez les éditions Mangetsu. Ce recueil d’histoires courtes, inédit jusqu’à présent en France, promet une plongée terrifiante dans l’univers captivant de l’auteur.

Initialement publiées dans le magazine shôjo/josei Nemuki, ces histoires ont été rassemblées sous le titre Kaidan lors de sa parution au Japon en 2013, édité chez Asahi Sonorama. L’œuvre s’inscrit dans la lignée de l’anthologie Itou Junji Kessakushuu/Junji Ito Collection Masterpiece, étant son 11e volume au Japon, et se démarque par sa nature captivante et effroyable.

Proposé au prix standard de la collection Junji Itô, soit 24,95€, Carnage promet de maintenir la qualité exceptionnelle associée au travail de l’auteur. Enrichi d’une préface signée du dessinateur Luz (connu pour ses œuvres Catharsis, Vernon Subutex, Testosterror), cet ouvrage comprendra également, comme à l’accoutumée, une analyse postface rédigée par Morolian, éminent spécialiste francophone de l’univers de Junji Ito.

Une particularité exclusive à l’édition française sera la présence d’une histoire inédite intitulée « Stratophobie« , absente de l’édition originale japonaise, offrant ainsi une valeur ajoutée aux lecteurs français.

Le sorceleur : le continent

Un voyage à travers les lieux emblématiques du Sorceleur dans un ouvrage foisonnant d’illustrations. Sous la plume d’Andrzej Sapkowski, Geralt De Riv, Jasquier, Yennefer et Ciri ont traversé les quatre coins du Continent : de la forteresse cachée de Kaer Morhen aux mystères engloutis d’Ys-sous-les-eaux, en passant par la majestueuse Cintra et l’impénétrable forêt de Brokilone.

La richesse de la saga repose sur l’histoire du Continent, mais aussi sur les relations complexes entre ses peuples et ses royaumes. Depuis la Conjonction des Sphères et l’arrivée des différents peuples sur le Continent, les nations naissent, grandissent et disparaissent, laissant derrière elles de simples vestiges ou d’impressionnantes cités. Le Sorceleur – Le Continent est un guide sans pareil pour les découvrir.

Disponibilités :
Fnac 35€

Baldur’s Gate 3 – édition Deluxe

Contenu numérique de luxe :

– Pack d’objets Divinity – Équipez votre groupe d’une gamme d’objets inspirés du monde et des personnages de Divinity.
– Bard Song Pack – Étonnez le public en interprétant cet ensemble spécial de nouvelles chansons – ou demandez-leur de se boucher les oreilles si vous manquez de compétence.
– Skin de dés exclusif – Échouez les contrôles avec style ou réussissez avec un nouvel air de confiance.
– Peintures de Rivellon – Découvrez une nouvelle collection de peintures à travers les Royaumes Oubliés, inspirées de Divinity : Original Sin 2.
– Pochette de l’aventurier – Recevez une collection de fournitures de camp et de potions pour vous aider à démarrer votre voyage.
– OST numérique – Profitez de la musique de Baldur’s Gate 3 du compositeur Borislav Slavov. Découvrez cette bande originale lors de votre session D&D et retrouvez l’ambiance et l’ambiance de Baldur’s Gate 3 !
– Artbook numérique – Explorez l’art et le design de Baldur’s Gate 3 dans cet artbook numérique complet, écrit par Larian.
– Feuilles de personnages numériques – Parcourez et imprimez un ensemble de feuilles de personnages D&D de quatre pages pour chaque personnage de Baldur’s Gate 3 Origin.

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Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name : Une extension à la hauteur de nos attentes ?

La série Yakuza a connu une montée impressionnante de sa popularité ces deux dernières années. L’enthousiasme massif pour la saga garantit la régularité des sorties de nouveaux jeux. Néanmoins, Sega et Ryu Ga Gotoku Studio semblent éprouver des difficultés à accorder à Kazuma Kiryu, l’emblématique figure de proue de la série, le repos bien mérité qu’il mériterait. Dans le récent volet de la saga, « Yakuza Gaiden: Of the End – The Man Who Erased His Name« , Kazuma Kiryu est de retour sur le devant de la scène. Toutefois, la question se pose : cette extension était-elle vraiment nécessaire pour l’histoire de Kiryu ?

Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name : Une extension à la hauteur de nos attentes ?

L’histoire de « The Man Who Erased His Name » est singulière. Kazuma Kiryu, toujours en vie, adopte une nouvelle identité sous le nom de code « Joryu ». Impliqué avec les Daidoji, un groupe d’agents secrets actifs dans des affaires clandestines au Japon, Kiryu se retrouve démasqué après un revers lors d’une mission à Sotenbori, quartier d’Osaka. Contraint de jongler entre le contrat conclu avec les Daidoji et son passé de yakuza, Kiryu se trouve confronté à des problèmes croissants. Des rumeurs inquiétantes circulent également concernant des problèmes émergents à des endroits clés comme Ijincho à Yokohama, annonçant peut-être la fin imminente des yakuza.

Intrigues nouvelles et développements contrastés

L’action principale se déroule principalement à Sotenbori, où Kiryu collabore avec Akame, une jeune femme qui, sous couvert d’aider les sans-abri, surveille les événements locaux via un réseau d’informations. Akame sert de liaison de Kiryu avec le Château, un établissement de divertissement dirigé par Homare Nishitani III, patriarche du clan Kijin, affilié à l’Alliance Omi. Engagé par cette dernière pour évincer Homare et récupérer le château, Kiryu se trouve impliqué dans une mission spéciale pour le compte d’un mystérieux client.

Système de combat solide, mais histoire en dent de scie

Cependant, l’intrigue de « Yakuza Gaiden: Of the End – The Man Who Erased His Name » s’avère moins captivante que ses prédécesseurs, notamment lorsqu’elle tente de combler les lacunes entre Yakuza 6 et Yakuza: Like a Dragon. Les premières parties impliquant les Daidoji manquent de consistance et représentent un fil narratif moins attrayant. Heureusement, bien que l’histoire soit relativement courte, le jeu élargit ses horizons en se concentrant davantage sur le conflit entre la famille Watase et le clan Kijin.

L’écriture reste fluctuante, avec un aspect un peu démodé autour de tout ce qui n’est pas central à l’intrigue principale. Kiryu peine continuellement (et échoue) à vendre son personnage de Joryu. Parmi les nouveaux venus, Akame et Tsuruno sont bien développés, mais certains personnages comme Shishido et Homare du clan Kijin semblent plutôt unidimensionnels, trop similaires dans leur personnalité. Cette niche est déjà occupée de manière bien plus intéressante par Majima !

Découvertes abondantes et contenu varié

Gaiden offre tout ce que l’on peut attendre d’un jeu Yakuza : une multitude d’intrigues, des personnages captivants et des rebondissements à profusion. Toutefois, l’histoire comporte des hauts et des bas. Lorsqu’elle est à son apogée, elle suscite des émotions intenses, pouvant même faire verser quelques larmes. Malgré une histoire principale correcte, elle ne brille pas autant que ses prédécesseurs, car de nombreux rebondissements semblent malheureusement prévisibles et les motivations des antagonistes manquent de profondeur. Même les sous-histoires sont inégales en termes de qualité, contrairement aux épisodes antérieurs où peu d’entre elles se démarquaient.

Toutes les sous-histoires sont liées au réseau Akame et permettent d’obtenir des points Akame, une monnaie utilisée pour acquérir des améliorations de combat ou des objets uniques. Ce système facilite la découverte des sous-histoires, mais ôte le côté imprévisible des rencontres aléatoires, ce qui diminue le plaisir de les découvrir. Diverses autres méthodes permettent de gagner des points Akame, que ce soit via des demandes d’aide ou en participant aux nombreuses activités du jeu.

Le farming n’est pas une contrainte dans « Yakuza Gaiden: Of the End – The Man Who Erased His Name« , les points Akame et l’argent étant abondants pour améliorer les compétences de Kiryu. Avec l’ajout du Colisée, les joueurs gagnent des sommes considérables d’argent, facilitant ainsi les améliorations des compétences et rendant les combats plutôt triviaux.

Le système de combat ramène la série à ses bases d’action, offrant à Kiryu la possibilité de switcher entre les styles Yakuza, un style percutant et agressif, et l’Agent, plus fluide dans ses mouvements. À mesure que Kiryu frappe ses ennemis, sa jauge de chaleur se remplit, permettant la libération de capacités dévastatrices et de coups de grâce.

Le jeu propose également un mode de chaleur extrême lorsque la jauge atteint un seuil spécifique, amplifiant la force des attaques et autorisant même la récupération d’objets pour terrasser les ennemis. Enfin, un compteur supplémentaire peut être déclenché si Kiryu esquive à la dernière seconde, annulant ainsi les dégâts massifs. Ces améliorations apportent une touche supplémentaire à un système de combat déjà solide et éprouvé.

Le panel de gadgets d’agent ajouté aux compétences de combat de Kiryu est satisfaisant à utiliser, même s’ils présentent quelques vulnérabilités. Certains de ces outils, comme les chaussures rapides ou le fil étourdissant, peuvent exposer Kiryu lors de leur utilisation, offrant une fenêtre d’attaque à l’ennemi. Malgré cela, tous les gadgets ont leur utilité et procurent un plaisir certain à les utiliser.

En conclusion, « Yakuza Gaiden: Of the End – The Man Who Erased His Name » apporte une perspective intrigante à l’univers étendu de la série. Toutefois, malgré ses éléments captivants tels que l’exploration des relations de Kiryu avec de nouveaux personnages et son implication dans des affaires clandestines, cette extension laisse un sentiment mitigé.

Bien qu’elle offre des rebondissements et des émotions intenses, l’histoire parvient moins à captiver que les précédentes. Des incohérences dans le développement des personnages et des sous-intrigues inégales viennent quelque peu entacher l’expérience globale. Malgré cela, le jeu demeure fidèle à la formule d’action de la série, offrant un système de combat solide et une pléthore d’activités secondaires pour les amateurs de la franchise.

Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name, est disponible dès maintenant au prix moyen de 49.99€

La série animée Sand Land d’Akira Toriyama arrive en exclusivité sur Disney+ ! »

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Après avoir eu l’expérience d’un long métrage animé au Japon (un film qui demeure jusqu’à ce jour inconnu en France), la série de bandes dessinées Sand Land d’Akira Toriyama se prépare à faire ses débuts sous forme d’une série animée !

La plateforme Disney+ a été l’initiatrice de cette annonce et s’est assurée de diffuser en exclusivité mondiale cette future série animée dès le printemps 2024 dans son programme « STAR Anime Series« . Cette adaptation comprendra les mêmes doubleurs et l’équipe du film, avec Toshihisa Yokoshima à la barre de la réalisation, Hayashi Mori pour les scénarios, et Yûgo Kanno pour la composition musicale.

Ce projet d’anime promet de présenter des moments inédits absents du film, des récits tirés du matériel d’origine de la série de bandes dessinées, ainsi qu’une toute nouvelle histoire conçue par Toriyama lui-même, destinée à prendre la suite du film.

Concernant sa diffusion en France, la série de bandes dessinées originale avait été éditée par Glénat.

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A Barbie Land, vous êtes un être parfait dans un monde parfait. Sauf si vous êtes en crise existentielle, ou si vous êtes Ken.

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Le PlayStation Portal : Un accessoire inutile et décevant, loin des attentes des joueurs…

Le PlayStation Portal, annoncé comme une révolution dans le monde du jeu portable pour les amateurs de PS5, s’est révélé être une déception flagrante. Malgré les attentes élevées, cet appareil se trouve être loin de fournir l’expérience attendue.

Affiché à 199 $, son prix ne se justifie pas par les prestations qu’il offre. Sans une PS5 préalablement acquise, cet appareil n’a aucune utilité, rendant son attractivité pour les joueurs limitée, surtout pour ceux cherchant à jouer sur d’autres écrans que celui de cette mini-console.

L’installation s’avère être un véritable parcours du combattant. Des mises à jour interminables, demandant une perte de temps considérable, se montrent finalement peu gratifiantes. Malgré cet investissement en temps, le gameplay demeure décevant. Les jeux comme Spider-Man 2 ou Final Fantasy XVI sont à peine jouables sur cet écran de faible qualité et de taille réduite. Le fonctionnement de l’écran tactile est déconcertant, offrant une expérience utilisateur peu satisfaisante.

Abordons à présent les problèmes de connexion, l’un des points les plus frustrants rencontrés lors des tests. La liaison avec la PS5 s’avère être un véritable cauchemar, interrompant régulièrement les sessions de jeu. Cette déconnexion récurrente induit une frustration constante chez l’utilisateur, obligeant à des reconnexions répétées qui se traduisent par une perte de temps inacceptable.

Concernant les contrôles, heureusement, les manettes sont à la hauteur des attentes. L’ergonomie est très bonne, pratiquement semblable aux manettes d’origines de la PS5. Rien à redire, même si l’ensemble est plus petit, l’ergonomie reste parfaite, contrairement à l’utilité de cet accessoire !

En conclusion, le PlayStation Portal représente une déception totale. Cette prétendue solution pour une expérience de jeu portable destinée aux passionnés de jeux vidéo se révèle être une dépense non justifiée en termes de qualité et d’expérience utilisateur. Avec des problèmes d’installation, de connexion et le manque du Bluetooth, un écran LCD et non Oled, cet appareil est à éviter absolument pour tout amateur cherchant une expérience de jeu fluide et agréable. En résumé, le PlayStation Portal est inutile !