Dragon Ball DAIMA : La révélation majeure du panel NYCC 2023!

0

Voici la grande révélation du comité Dragon Ball lors de la NYCC 2023 : une série animée inédite baptisée « DRAGON BALL DAIMA » est prévue pour l’automne 2024 ! La communauté de fans attendait avec impatience cette annonce depuis plusieurs semaines, notamment depuis la promesse d’un teaser mystérieux lors de l’événement.

Il faut dire que les passionnés espéraient une nouvelle série de l’univers Dragon Ball depuis plus de cinq ans, depuis la conclusion de Dragon Ball Super en 2018. Le panel a tenu toutes ses promesses en dévoilant une bande-annonce de plus de trois minutes pour ce tout nouveau projet animé « Dragon Ball DAIMA« , offrant ainsi de nombreuses révélations dès le départ !

L’anomalie Undertale décryptage d’un jeu monstre – Edition First Print

Drôle, corrosif, malin, émouvant, irrévérencieux, audacieux : les adjectifs ne manquent pas pour qualifier Undertale. Le RPG minimaliste de Toby Fox a su se constituer une communauté de fans particulièrement dense et dévouée, au point que chaque nouvelle création de son auteur est désormais vécue comme un événement – ce qu’il entretient lui-même par une communication succincte et mystérieuse.

Disponibilités :
Exclu Third Editions 29,99€

Disgaea 7 : L’Évolution de la Série dans une Nouvelle Aventure Démoniaque

Dans Disgaea 7, les premières heures du jeu semblent familières pour les amateurs de la série, avec un démon protagoniste, Fuji, à l’histoire floue et des caractéristiques maléfiques exagérées. Accompagné d’une héroïne pétillante, Pirilika, et d’un acolyte non humain, on a l’impression d’avoir déjà vu ce schéma narratif. Pourtant, Disgaea 7 s’annonce comme l’une des meilleures expérience de la série à ce jour.

Des débuts familiers, une nouvelle promesse !

Comme on peut s’y attendre, le jeu commence par des aventures dans des mondes étranges et spécifiques, tels qu’une ville générique, un monde de pêche à la sardine et bien d’autres. Vous recrutez des alliés tout en rencontrant une galerie de méchants comiques. L’humour initial cède progressivement la place à des développements sérieux de l’intrigue, ponctués de rebondissements tant prévisibles qu’inattendus.

Un mélange d’humour et d’obscurité

Disgaea 2 avait réussi à équilibrer avec brio le côté loufoque et l’obscurité de l’histoire, et Disgaea 7 cherche à retrouver ce niveau de qualité. Cependant, il conserve également certaines des lacunes traditionnelles de la série, telles qu’une physique de combat chaotique et des éléments de perversion utilisés comme traits de personnalité.

L’histoire se déroule dans un Netherworld parodique basé sur le Japon, Hinomoto, et est explorée à travers les yeux de Pirilika, une fan de la culture japonaise. Cette dynamique intéressante contraste avec Fuji, une guerrière blasée dépourvue d’empathie. Le casting comprend un voleur doté de la perception de l’âme, un mage fêtard, le vieux maître de Fuji et une arme robotique ressemblant à un enfant. Bien que ces personnages puissent sembler clichés au départ, ils bénéficient d’un développement approfondi et évitent de tomber dans les stéréotypes du « pouvoir de l’amitié« .

Exploration et dynamique des personnages

Le gameplay de Disgaea 7 suit les attentes de la série, mais avec des améliorations. Chaque personnage, qu’il soit unique ou générique, est utile à l’équipe. Les scènes de combat sont conçues pour encourager l’expérimentation de stratégies variées, avec des boss redoutables et des étapes de puzzle offrant un challenge stimulant.

Par exemple, une étape propose un jeu de volley-ball avec des barils explosifs, tandis qu’une autre vous place au centre d’un cercle d’ennemis coriaces, vous laissant le choix entre les affronter tous en même temps ou bloquer un côté de la scène pour les neutraliser progressivement.

Un gameplay raffiné pour plus de diversité !

La mécanique de jeu a été raffinée, offrant un large éventail de défis originaux. Les scènes de combat ne sont que rarement de simples carrés vides, et même quand c’est le cas, le jeu vous incite à jouer aux échecs avec des unités de remplacement nommées d’après les pièces d’échecs.

Le système de bonus précédent, basé sur l’accumulation de points en infligeant des dégâts, a été remplacé par des objectifs spécifiques à chaque champ de bataille. Ces objectifs sont souvent liés à l’histoire, incitant les joueurs à adapter leurs stratégies pour obtenir des récompenses.

De plus, deux nouvelles mécaniques, Hell Mode et Jumbification, ajoutent de la profondeur au gameplay. Hell Mode offre des bonus temporaires puissants aux porteurs d’armes spéciales, tandis que la Jumbification permet à un personnage de devenir gigantesque, offrant de nouvelles stratégies tactiques.

Le jeu rationalise également certains systèmes, tels que le recrutement d’alliés, qui se fait désormais en échange de HL auprès de PNJ. Les personnages évoluent plus rapidement et les systèmes de développement des personnages ont été améliorés, tout en maintenant un niveau de complexité satisfaisant.

Le système Evility atteint son apogée, incitant les joueurs à réfléchir de plus près à leurs statistiques, classes et capacités. L’optimisation n’est plus réservée à l’après-match, ce qui ajoute une nouvelle dimension stratégique au jeu.

Cependant, Disgaea 7 n’est pas exempt de problèmes. Les combats automatiques, bien qu’améliorés, sont limités par une réserve de carburant, ce qui restreint leur utilisation. Le système gacha de l’hôpital, bien que novateur, peut déséquilibrer le jeu si le joueur a de la chance.

Conclusion : Un retour aux sources réussi !

En conclusion, Disgaea 7 représente un retour aux sources de la série, corrigeant certaines des erreurs de Disgaea 6. Il offre une expérience fidèle à l’héritage de la franchise, tout en apportant des améliorations significatives. Avec son mélange de loufoque et de sérieux, de nouvelles mécaniques de jeu et une histoire captivante, Disgaea 7 s’impose comme l’une des meilleures entrées de la série à ce jour.

Disgaea 7: Vows of the Virtueless, est disponible dès maintenant sur Nintendo Switch, PS4 / PS5 au prix moyen de 59.99€

La saga Harry Potter, la magie de la narration – Edition First Print

Plus de vingt-cinq ans après la publication du premier tome, l’aura de la saga Harry Potter demeure vivace. La création de J. K. Rowling continue d’exister sous de nouvelles formes : jeux vidéo, série télévisée, etc. Par quelle magie a-t-elle pu toucher autant de monde ? Quels sont les secrets de son alchimie ?

Disponibilités :
Exclu Third Editions 34,90€

Urban Comics révolutionne la collection « Dawn of » avec « Dawn of Shazam » pour 2024

Urban Comics révise sa stratégie pour 2024 en ce qui concerne les personnages de l’univers DC Comics, à l’exception de Batman. Dans la collection « Dawn of« , l’éditeur rassemble divers récits liés à un personnage ou son univers. Une initiative appréciée des fans, bien que cela implique une hausse notable du prix des tomes malgré la pagination plus étoffée.

Pour février 2024, Urban Comics a annoncé « Dawn of Shazam« . Au programme, l’équipe créative Mark Waid et Dan Mora, déjà reconnue pour « Batman/Superman: World’s Finest« .

Leur nouvelle série sur Billy Batson a connu un début mouvementé avec l’événement « Knight Terrors« . Mark Waid continue sur la mini-série « Knight Terrors: Shazam! » (avec Roger Cruz aux dessins), intégrée à l’album. Également, la mini-série « The New Champion of Shazam! » de Josie Campbell, illustrée par Evan « Doc » Shaner, et le one-shot « Lazarus Planet: We once Were Gods #1 ». L’album propose une somme généreuse de numéros sur 304 pages, au prix de 30€. Une stratégie qui suscite déjà des discussions parmi les lecteurs.

Marvel Studios annonce un redémarrage radical pour Daredevil

0

Avant la récente grève qui a paralysé Hollywood pendant plusieurs mois avant de prendre fin, la moitié des épisodes de la série Daredevil: Born Again avait été tournée. Cette situation posait un défi considérable pour les décideurs de Marvel Studios.

Cependant, leur réaction a été mitigée. Kevin Feige, à la tête du Marvel Cinematic Universe, notamment, n’a pas été pleinement convaincu par ce qu’il a vu, ce qui a conduit à une décision radicale.

Un redémarrage complet de Daredevil a été annoncé il y a quelques jours, obligeant Marvel Studios à se séparer des scénaristes Chris Ord et Matt Corman, ainsi que des réalisateurs, dans le but de revitaliser la créativité de la série. Pour l’instant, aucune annonce n’a été faite concernant les remplaçants de l’équipe précédente.

L’équipe précédente avait la tâche délicate de donner un nouveau souffle à la série Daredevil, qui avait connu un certain succès sur Netflix, en la réinventant tout en conservant l’acteur Charlie Cox dans le rôle de Matt Murdock, alias Daredevil, que les spectateurs avaient découvert dans quelques épisodes de la série She-Hulk : Avocate.

Cependant, relancer les aventures du Diable de Hell’s Kitchen dans l’univers cinématographique Marvel, voire chez Disney, s’avère être un défi de taille, surtout compte tenu des fortes attentes des fans, en particulier ceux de la première itération.

Il reste à voir quelles répercussions cette décision aura sur le calendrier du Marvel Cinematic Universe. Bien que les détails demeurent flous, il est indéniable que la grève a déjà perturbé le planning et que des ajustements sont désormais inévitables.

Découvrez l’Édition Collector éxquise de « La Maison des Égarées » chez AllTheAnime !

0

Suite à sa récente diffusion dans les cinémas français en juin dernier, le long métrage animé intitulé « La Maison des Égarées » s’apprête à faire son entrée dans le monde du support physique par le biais de l’éditeur AllTheAnime, programmé pour le 8 novembre à venir.

Pour satisfaire la variété des attentes des fans, trois éditions distinctes ont été mises en place. Tout d’abord, une édition DVD simple sera mise en vente au prix public de 19,99€.

En parallèle, une version Blu-ray simple sera également disponible, proposée au tarif de 24,99€. Enfin, pour les inconditionnels, une édition collector regroupant à la fois les formats Blu-ray et DVD sera offerte au prix de 39,99€. Dans un souci d’inclusivité, toutes les éditions seront dotées de pistes audio en version française (VF) et en version originale sous-titrée (VOSTFR).

Outre la jouissance du film lui-même, chaque édition inclura une sélection de bonus vidéo exclusifs. Les spectateurs auront ainsi l’opportunité de découvrir une interview captivante avec le réalisateur, de visionner la bande-annonce du film et même de dénicher les recettes secrètes préférées de Yui et Kiwa, les personnages emblématiques de « La Maison des Égarées« . Un contenu diversifié pour combler les amateurs de cinéma.

L’édition collector, en plus de son contenu vidéo attrayant, ira encore plus loin pour ravir les collectionneurs et les passionnés. En effet, elle comprendra un livret richement illustré de 24 pages qui plongera les fans dans les coulisses de la création du film. De plus, le tout sera soigneusement présenté dans un élégant coffret slipcase, apportant une touche de sophistication à cette édition exclusive. Pour les vrais amateurs de l’univers du film, l’édition collector est la promesse d’une expérience immersive et inoubliable.

Yona, Princesse de l’Aube : Édition Limitée du Tome 40 – Un manga pour les fans Français !

0

Depuis longtemps, les inconditionnels de Yona, Princesse de l’Aube, attendaient avec impatience une version spéciale de ce manga. Enfin, le 6 décembre, le tome 40 sera disponible en édition limitée, une exclusivité pour le public français, proposée au prix de 12,90€, soit 4,70€ de plus que l’édition standard prévue pour le même jour.

Cette édition limitée est constituée d’un exemplaire du tome 40 accompagné d’une jaquette réversible unique et d’un mini-artbook de 168 pages, conçu au même format que le manga. Le mini-artbook est muni d’une couverture cartonnée ornée d’une illustration inédite. À l’intérieur, les fans auront l’opportunité de découvrir plus de cent illustrations couleur exclusives provenant du Hana to Yume, le magazine où la série est prépubliée, ainsi que des visuels promotionnels et des illustrations extraites des jaquettes avant maquette. Cela en fait l’artbook le plus complet publié en Europe jusqu’à présent. À la conclusion de l’artbook, un récapitulatif des illustrations avec leurs utilisations originales est disponible.

Comme c’est la norme pour les éditions limitées, le nombre d’exemplaires de ce tome sera restreint. Il est donc fortement recommandé de précommander dès maintenant auprès de votre libraire de confiance. Il est important de noter que la jaquette réversible sera exclusive à l’édition limitée, et l’artbook ne sera pas vendu séparément de cette édition spéciale.

Avis manga – After God (tome 1)

0

Dès les premières pages de ce premier du manga « After God », l’univers se déploie avec une clarté troublante. L’humanité a subi une transformation radicale, submergée par la présence imposante de divinités. Les zones à haut risque se multiplient, principalement au Japon, devenu le théâtre des attaques divines.

C’est dans ce contexte que Waka, une jeune femme, se lance dans une mission téméraire, pénétrant une zone dangereuse de Tokyo pour retrouver son amie disparue.

avis manga

Avis manga – After God (tome 1)

Au cours de son aventure, elle croise la route de Sachiyuki Tokinaga, un chercheur spécialisé dans l’étude de ces divinités, des entités insaisissables résistant aux assauts conventionnels. Il la met en garde sur le danger de soutenir le regard d’une divinité, un acte pouvant la plonger dans une fascination morbide pour la mort, transformant cette issue en un destin attirant.

Cependant, il découvre rapidement que Waka n’est pas une personne ordinaire, car elle est dotée de pouvoirs exceptionnels qu’elle utilisera dans son affrontement avec une mystérieuse femme, puissante et ralliée au camp des divinités.

C’est après ce prologue captivant que Waka est invitée à rejoindre un institut secret, niché dans les profondeurs de Tokyo, où elle fait la connaissance de ceux engagés dans la lutte contre les divinités. L’avenir de l’humanité semble reposer sur les épaules de Waka, en particulier sur ses yeux. Deux approches sont envisagées pour assurer la pérennité de l’espèce humaine. La première implique la création d’armes capables de neutraliser les divinités. La seconde explore le développement d’une technologie pour adapter l’homme aux divinités.

Les expériences menées au sein de l’institut semblent repousser certaines limites… Ce premier tome suit le schéma classique du genre, mettant en scène une jeune femme dotée de pouvoirs mystérieux face à une menace divine presque insurmontable, tout en introduisant l’institut dédié à la lutte contre les divinités.

Cette impression familière s’estompe rapidement grâce aux idées intrigantes de Sumi Eno et à des personnages variés qui parviennent à se distinguer, notamment Nyababa, le chat-androïde doté d’une éloquence unique. Bien que l’aspect religieux soit abordé de manière superficielle, la nature des divinités reste, pour l’instant, enveloppée de mystère. Ce premier tome soulève un grand nombre de questions, créant une forte attente pour les premières révélations à venir.

D’un point de vue visuel, l’artiste a réalisé un travail remarquable avec des illustrations impressionnantes et une dose de violence parfaitement dosée. Les personnages sont également soigneusement élaborés, certains étant particulièrement expressifs.

Quelques brèves scènes d’action viennent dynamiser l’ensemble, même si l’objectif principal de ce premier volume est de poser les bases de l’histoire. Désormais que les fondations sont établies, l’intrigue est prête à prendre de l’ampleur, suscitant une grande attente pour le tome 2 prévu pour sa sortie en novembre prochain.

Le manga After God (tome 1), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 7.90€.

Résumé : Alors que des divinités ont envahi le Japon, la jeune Waka cherche à s’introduire dans cette zone dangereuse de Tokyo, bien décidée à retrouver son amie disparue. Seulement, la jeune fille est habitée par “quelque chose”… S’agit-il du déclencheur de la ruine et de la destruction ? Ou bien est-ce l’arme qui sauvera le monde ? Sumi Eno explore le thème du déicide dans le monde contemporain avec des scènes extraordinairement détaillées et violentes qui sont sa marque de fabrique. Mais elle n’hésite pas non plus à ponctuer son récit de moments plus légers et drôles qui humanisent ses personnages.