GYLT – Edition collector

– Situé dans un monde glauque et mélancolique, GYLT est une histoire sinistre mêlant fantaisie et réalité dans un lieu surréaliste où vos cauchemars deviennent réalité; cachez-vous des terribles créatures ou affrontez-les en vous frayant un chemin à travers les défis de ce monde maléfique

– Plongez dans le monde de Gylt, une aventure narrative se déroulant dans une petite ville minière imaginaire du Maine. Énigmes, missions furtives et action vous y attendent

– En tentant d’échapper à un groupe d’enfants qui la tyrannisent, Sally atterrit dans une version cauchemardesque de sa ville, représentation de ses plus grandes peurs et de ses plus terribles souvenirs

– À l’aide d’appâts visuels ou sonores, élaborez des stratégies pour distraire les créatures qui vous poursuivent et ainsi leur échapper, ou au contraire, attirez-les pour les défier en face à face.

Disponibilités :
Just for Games 69,99€

Avis manga – Remina de Junji Ito

« Remina » offre une découverte astronomique qui bouleverse le destin de la Terre et de ses habitants. Au-delà de la menace cosmique, l’œuvre met en lumière la réaction de l’humanité face à l’inconnu, une critique de la société où la peur et l’ignorance peuvent entraîner une folie collective. Mais est-ce suffisant pour en faire un manga captivant ?

Il est à noter que « Remina » n’est pas un manga récent, puisqu’il a été publié pour la première fois en 2008. Nous avions négligé cette œuvre, compte tenu de la pléthore d’œuvres d’horreur du maître incontesté du manga d’horreur, Junji Ito. Cependant, la récente édition prestige de « Remina » chez Delcourt-Tonkam offre une occasion de rattraper notre retard.

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Avis manga – Remina de Junji Ito

L’histoire commence lorsque le professeur Oguro fait une découverte astronomique sans précédent : une planète inconnue surgit d’un trou de ver, baptisée Remina en l’honneur de sa fille. Cette révélation propulse la jeune femme sous les projecteurs, en faisant une idole célébrée.

Cependant, la joie est éphémère, car la planète avance rapidement, engloutissant tout sur son passage, menaçant bientôt la Terre elle-même. « Remina » de Junji Ito est une œuvre qui, sous ses airs de science-fiction, offre une réflexion profonde sur la nature humaine. Le manga débute avec espoir et célébration, mais bascule rapidement dans l’horreur et la folie collective. Si vous connaissez déjà l’auteur, vous vous attendez sans doute à une longue descente aux enfers pour les protagonistes, ce qui est effectivement le cas.

Néanmoins, « Remina » se révèle moins horrifique que les autres œuvres du mangaka. Ici, il s’agit plutôt de l’horreur tapie au fond du cœur de chaque être humain. Sans trop en révéler, Ito livre une critique satirique du star-system et de l’individualisme forcené de nos sociétés. Cette vision acerbe de la bêtise humaine est d’autant plus poignante que l’auteur dépeint avec justesse la rapidité avec laquelle la civilisation peut s’effondrer.

Cependant, le manga n’est pas exempt de défauts. Bien que Junji Ito utilise son talent pour dépeindre la terreur humaine plutôt que surnaturelle, le scénario peut parfois sembler naïf voire grotesque. Les situations paraissent souvent forcées, au prix d’une construction bâclée et caricaturale des protagonistes. En particulier, le personnage principal, Remina, manque de profondeur et de charisme, suscitant peu d’empathie chez le lecteur.

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Il est à noter que Junji Ito a reçu en 2021 deux Eisner Awards, des récompenses américaines prestigieuses, pour « Remina » et « Venus in the Blind Spot« . L’appréciation du scénario peut donc varier d’un lecteur à l’autre.

Sur le plan graphique, Junji Ito démontre une fois de plus son talent. Les dessins parviennent à retranscrire l’atmosphère oppressante de l’histoire. La planète Remina est parfaitement représentée, avec des cases évocatrices et menaçantes. Les scènes de poursuite sont dynamiques, et les expressions des personnages reflètent parfaitement leur désespoir.

Cependant, on peut noter que le niveau de détail est parfois inférieur à ce que l’auteur nous a habitués dans la plupart de ses œuvres. Malgré cela, « Remina » est une édition prestige de qualité, avec un papier de bonne facture, une couverture rigide impeccable, et un ruban rouge pratique en guise de marque-page.

En bonus, l’éditeur a inclus « Des millions de solitaires » du même auteur à la fin du tome, un récit court qui se déroule dans un cadre plus classique au Japon contemporain. Il s’agit d’une histoire de tueur en série aux victimes retrouvées cousues ensemble, qui entraîne le lecteur dans un cauchemar dont seul Junji Ito a le secret.

Le manga Remina de Junji Ito, est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 19.99€

Avis manga – The Unwanted Undead Adventurer (tome 9)

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Après avoir assuré une place à la jeune Alizée pendant son absence et avoir réuni tous les objets requis du donjon de la Nouvelle Lune, Lendt se dirige finalement vers son village natal, Hat-Haller, en compagnie de Lorraine. Ils débutent leur voyage à dos de tortue géante, dans l’espoir que ce périple révélera les origines de sa force spirituelle.

Cependant, ce voyage signifie bien plus pour lui, car il va renouer avec son village après des années d’absence, alors qu’au départ, il ne prévoyait qu’une courte escapade. Ce retour le confrontera inévitablement à des aspects de son passé qui continuent de le hanter.

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Avis manga – The Unwanted Undead Adventurer (tome 9)

Le récit du tome suit une structure simple, avec la première moitié dédiée au voyage et la seconde au retour à Hat-Haller et aux retrouvailles. Bien que leur périple inclue des arrêts dans diverses villes, des rencontres et quelques petits dangers, il reste globalement succinct et basique. La seule chose vraiment notable est la rencontre avec Al-Hildis, également connue sous le nom d’Hilde, une aventurière elfe de rang argent et une experte en magie spirituelle. Elle apporte à notre héros des éclaircissements sur la force spirituelle et la maîtrise de son émanation.

Le mangaka Haiji Nakasone choisit de ne pas détailler le voyage de manière approfondie, préférant hâter l’arrivée de notre duo dans le village natal de Lendt lors de la seconde moitié du volume. Pour l’instant, l’histoire se contente d’introduire de nouveaux personnages issus du passé de notre héros, tels que l’apothicaire Gharb, les amies d’enfance Lily et Fahry, le maire Ingo Faïna et son épouse Gilda, ainsi que le chasseur en chef Capitane. Ils sont tous reconnaissables grâce à leurs designs distincts et contribuent à créer une ambiance conviviale, marquée par un malentendu comique concernant la relation entre Lendt et Lorraine, qui aboutit à l’organisation d’un banquet.

Cependant, malgré cette atmosphère joviale, une note de mélancolie persiste en arrière-plan, suggérant les tourments que Lendt porte en lien avec son passé, notamment en ce qui concerne Jin-Lin. De plus, il semble que le maire et ses proches aient de sombres nouvelles à annoncer à notre héros concernant l’avenir de Hat-Haller.

Dans l’ensemble, ce tome n’est pas très riche en événements, ce qui peut sembler paradoxal compte tenu de la rapidité avec laquelle nos deux héros atteignent Hat-Haller.

Cependant, il pose les bases pour une nouvelle phase de l’histoire, en présentant des personnages marquants et en préparant le terrain pour ce qui promet d’être un dixième volume plus riche en rebondissements.

Les tomes 1 à 9 du manga The Unwanted Undead Adventurer sont d’ores et déjà disponible dans toutes les bonnes librairies au prix de 6.95€.

Avis manga – Grand Blue (tome 11)

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En l’absence d’Aina, nos protagonistes ont décidé de passer leurs vacances estivales sur une île, accompagnés d’une invitée spéciale, la starlette Kaya, dont Kôhei est un grand admirateur. Cependant, leur séjour prend une tournure inattendue lorsqu’ils se retrouvent temporairement coincés sur cette île, en compagnie de leurs anciens « rivaux » du club de tennis et des trois étudiantes de l’université voisine.

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Avis manga – Grand Blue (tome 11)

Malgré leur situation inhabituelle sur cette île déserte, nos héros ne se laissent pas abattre et trouvent toujours des moyens de s’amuser. D’un côté, les trois étudiantes tentent des approches romantiques typiques de leur style, tandis que de l’autre, les jeux à boire sont monnaie courante. Le résultat est conforme à ce que l’on attend de Grand Blue, avec son humour caractéristique. Cependant, étant donné la situation inhabituelle sur l’île déserte et la présence des membres du club de tennis et des étudiantes, on aurait pu s’attendre à des développements plus originaux.

Malgré tout, le récit reste divertissant, en particulier lors de moments tels que l’hilarante ivresse de Chisa ou le gag récurrent du saut depuis la falaise.

Après cette parenthèse sur l’île déserte, le récit reprend avec des situations plus conventionnelles mais toujours comiques. Les amis d’Iori se réunissent pour discuter de leurs aspirations futures, certaines étant assez farfelues, tandis que Kôhei entraîne notre héros dans un café spécial. Deux éléments clés animent également ce tome : l’approche de la fin de l’année scolaire pour les troisièmes années, qui signifie la fin de leurs activités de club, et les tourments de la relation entre Iori et Chisa, exacerbés par une maladresse de notre héros qui le met dans une situation délicate. Les quiproquos s’accumulent, mais on perçoit clairement que malgré leurs différences, Iori et Chisa s’apprécient beaucoup et partagent leur quotidien, comme en témoigne l’acte héroïque d’Iori depuis la falaise pour sauver Chisa.

En fin de compte, la lecture reste agréable, avec des personnages fidèles à eux-mêmes, de l’humour caractéristique et des moments plus sérieux. Bien que l’intrigue ne se renouvelle pas beaucoup à ce stade, notamment lors de la partie sur l’île déserte, cela ne nuit pas à l’ensemble. Nous avons ont hâte de découvrir la suite, notamment la fête d’adieu pour les troisièmes années, de nouveaux voyages potentiels et l’éventuelle résolution du cas Aina.

Les tomes 1 à 11 du manga Grand Blue sont d’ores et déjà disponible dans toutes les bonnes librairies au prix de 6.95€.

Doom Patrol : Un final explosif pour la zérie DC Culte

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L’équipe de super-héros la plus improbable et attachante de l’univers DC, Doom Patrol, se prépare à tirer sa révérence avec la quatrième et ultime saison. La nouvelle bande-annonce annonce un final palpitant, mêlant action, émotion, et réflexions métaphysiques qui ont caractérisé la série.

Les six derniers épisodes promettent une conclusion explosive, où nos héros imparfaits se confrontent à leurs peurs profondes tout en luttant contre le vieillissement accéléré et le super-vilain Immortus. L’action est accompagnée d’instants d’introspection, où les personnages doivent décider de leur destin ou rester prisonniers de leur passé tumultueux.

La bande-annonce explore également des thèmes profonds, équilibrant habilement l’humour et l’émotion dans les interactions entre les personnages. La musique, notamment la chanson « We Know It’s Over » de Simon Diamond et Karl Hungus, et la phrase « All good things are doomed » renforcent la tension pour un dénouement apocalyptique et touchant.

Le casting exceptionnel, comprenant Brendan Fraser, Matt Bomer, April Bowlby, Diane Guerrero, Joivan Wade, Michelle Gomez, Skye Roberts, Riley Shanahan, et Matthew Zuk, continue d’impressionner.

La série, dirigée par Jeremy Carver, a été acclamée par les critiques, obtenant un score parfait de 100 % sur Rotten Tomatoes. Les derniers épisodes de Doom Patrol seront disponibles sur Max du 12 octobre au 9 novembre 2023. La diffusion française reste à confirmer, mais les fans espèrent bientôt la retrouver sur SyFy ou Prime Video grâce au Pass Warner. Préparez-vous à un final mémorable, à la fois étrange et émouvant, pour cette série qui nous a tous captivés.

Avis manga – Frieren (tome 9)

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Frieren et ses deux compagnons ont parcouru divers lieux sur le haut-plateau du nord, poursuivant leur périple qui ne manque pas d’incidents. Leur aventure commence par la libération d’un monastère abandonné, protégé par une puissante barrière magique, où sont censées être conservées les mémoires de Himmel.

Ils ont ensuite une discussion avec Gehen, un nain que Frieren avait rencontré il y a bien longtemps au même endroit, et qui a consacré les deux derniers siècles à la construction d’un pont dans un but précis. Ensuite, ils se dirigent vers un campement d’aventuriers à la recherche d’un minerai magique, dans l’espoir de renflouer leurs finances.

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Avis manga – Frieren (tome 9)

Ces péripéties marquent le début du tome, tout en conservant la recette principale de l’œuvre, qui met en avant les défis auxquels sont confrontés les personnages, notamment l’elfe et Gehen, qui sont confrontés à des épisodes de leur passé.

Cela suscite des émotions particulières, comme les regrets de Gehen, qui se demande si un tel soutien aurait pu éviter un drame, et la mélancolie de notre héroïne en lisant les mémoires de Himmel, qui ne semblent avoir de l’importance que pour elle. Les auteurs réussissent à maintenir l’attention sur le fil conducteur tout en ajoutant des touches d’humour, comme le comportement stoïque de Frieren lorsqu’elle est prise au piège par un kraken. Il convient également de souligner la qualité visuelle habituelle de Tsukasa Abe, qui offre des visuels nets et un découpage sobre mais efficace.

Cependant, le schéma épisodique, caractéristique de l’œuvre, est perturbé dans la suite du volume, lorsque Frieren reçoit une demande personnelle de Lernen, un homme de l’académie qu’elle n’apprécie guère : elle doit apporter son soutien au gardien de la citadelle de Weise, qui a été transformé en métal précieux par Macht des Terres d’Or, l’un des sept sages du chaos, il y a plusieurs décennies. Frieren ne s’attendait pas à trouver Denken en tant que gardien, ce dernier étant originaire de ces terres et ayant de nombreux souvenirs liés à cet endroit.

Il aspire désormais à libérer la citadelle de l’emprise du démon. Cependant, Macht est réputé comme étant le plus puissant des sept sages du chaos, ce qui soulève des questions quant à la possibilité de réussite. Contrairement à de nombreuses histoires du genre, qui nous entraîneraient vers un affrontement épique contre le démon, les deux auteurs prennent un chemin différent en se concentrant sur les personnages. Frieren réalise qu’il est peut-être impossible de vaincre Macht, un démon face auquel elle a déjà connu la défaite par le passé.

L’intérêt réside donc dans les développements qui se déroulent autour de cette situation : les révélations sur le passé de Denken, ses regrets liés à l’action de Macht, sa relation avec Lernen qui se dévoile davantage, et leur désir de préserver les moments heureux passés, même s’ils appartiennent désormais au passé. De plus, Macht lui-même est un démon atypique, loin des stéréotypes habituels, car il n’aime pas combattre et il cherche à comprendre des émotions humaines auxquelles sa race est étrangère.

Comme toujours, la lecture offre de nombreux éléments à retenir. Tout en respectant les qualités visuelles et narratives d’Abe qui maintiennent la recette bien établie, les deux auteurs introduisent une partie plus longue qui capture facilement l’intérêt du lecteur, tout en suscitant la curiosité quant à son évolution future.

Les tomes 1 à 9 du manga Frieren sont d’ores et déjà disponible dans toutes les bonnes librairies au prix de 7.90€

Dragon Ball Magic : Une Nouvelle Aventure Épique dans l’Univers de Dragon Ball

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La semaine dernière, lors du New York Comic Con, une annonce particulièrement attendue a fait sensation parmi les fans de Dragon Ball. Le jeudi 12 octobre 2023, de 12h45 à 13h45, un panel spécial Dragon Ball se tiendra sur la scène de l’Empire Stage. Le site officiel du New York Comic Con a déclaré : « Nous présenterons les toutes dernières informations concernant la franchise mondiale du manga et de l’anime, « Dragon Ball ». Nous aborderons les développements récents de la série Dragon Ball, ainsi qu’un teaser mystérieux qui ne manquera pas de susciter l’excitation. Attendez-vous également à des apparitions surprises ! »

La confirmation de ce panel spécial et de son teaser énigmatique a pratiquement fait exploser Internet. Mais ce n’est pas tout, nous avons aujourd’hui des informations sensationnelles pour tous les inconditionnels de Dragon Ball concernant un tout nouveau projet : l’anime Web qui devrait bientôt voir le jour. Continuez à lire pour tout savoir à son sujet.

Il y a quelques heures, lors d’une diffusion en direct, @Geekdom101 a dévoilé des informations tout à fait captivantes sur le futur de l’anime Dragon Ball. Oui, un nouvel anime Web est en préparation et il se nomme Dragon Ball Magic ! Avant de vous laisser emporter par l’excitation, il est important de noter que ce n’est ni une suite de Dragon Ball Super ni le titre de la saison 2 de DBS. En réalité, il s’agit d’une toute nouvelle série originale qui se déroulera dans l’univers bien-aimé de Dragon Ball. Dragon Ball Magic sera diffusé en streaming sur Crunchyroll (potentiellement) et non sur Fuji TV, contrairement à ses prédécesseurs.

Comme précisé précédemment, cela n’aura aucune incidence sur Dragon Ball Super, qui continuera son manga comme d’habitude. Le leaker a également confirmé que cette nouvelle série se démarquera totalement de Super en termes de scénario et d’animation. Elle ciblera un public plus jeune ainsi que les fans dévoués de Dragon Ball. En ce qui concerne l’animation, elle sera réalisée en 2D, mettant fin aux rumeurs sur une éventuelle utilisation de la 3D. De plus, de talentueux animateurs de renom travaillent sur ce projet pour en faire la série Dragon Ball la mieux animée jamais créée. Un autre point positif est la participation directe d’Akira Toriyama à la série, où il supervise la production, collabore étroitement avec l’équipe et supervise même les scripts.

L’histoire de Dragon Ball Magic se déroulera vers la fin de Dragon Ball Z. Le tout premier arc de la série suivra Goku et Supreme Kai, qui sont mystérieusement transformés en enfants par un nouvel antagoniste, potentiellement un démon. Ils devront désormais collaborer pour retrouver leur forme adulte et vaincre cette nouvelle menace. Bien que cela rappelle Dragon Ball GT à certains égards, il est important de préciser que Dragon Ball Magic ne recréera pas GT, même s’il emprunte quelques éléments de son intrigue. Cette nouvelle série promet une aventure palpitante, parsemée de séquences d’exploration et de combats, tout en sollicitant davantage la réflexion que la force physique. De plus, de nouveaux personnages rejoindront l’équipe, notamment une jeune femme armée d’une épée et un homme armé d’un fusil, ou peut-être l’inverse.

En ce qui concerne la production, Katsuyoshi Nakatsuru, un animateur de renom de la franchise DB/Z/GT, est impliqué, lui qui est également le créateur de la transformation en Super Saiyan 4. Cela a suscité de nombreuses spéculations concernant la possible apparition de la forme SSJ4 dans Dragon Ball Magic.

Selon des fuites, la série comportera au minimum 15 épisodes, d’une durée variant de 20 à 45 minutes. Il existe également des rumeurs selon lesquelles Aya Komaki pourrait être la réalisatrice de la série. Une annonce officielle et une bande-annonce de Dragon Ball Magic seront présentées en avant-première au New York Comic Con 2023 le 12 octobre. La série devrait faire ses débuts en 2024, avec une sortie prévue au premier semestre de cette année-là.

Payday 3 : Un braquage multijoueur sous tension !

Payday 3 marque l’arrivée tant attendue de la série de braquages coopératifs en ligne de Starbreeze Studios, mais le voyage vers l’action pure et simple peut s’avérer plus laborieux que prévu. Dès le début, il est évident que le jeu n’a pas été pensé pour les consoles. Lors du chargement, vous êtes contraint de créer un compte Nebula Starbreeze via le navigateur intégré de la PS5, une étape fastidieuse qui contraste avec l’excitation de se lancer dans un braquage.

review Payday 3

Payday 3 : Un nouveau défi coopératif !

Le cœur du gameplay de Payday 3 reste fidèle à ses prédécesseurs : vous recevez une mission, observez discrètement votre environnement en vous faisant passer pour un membre du public, puis vous vous glissez dans le bâtiment ciblé pour voler ses précieux trésors.

Cependant, cette fois-ci, l’accent est mis davantage sur la furtivité. Vous devrez vous infiltrer dans des zones publiques, privées et sécurisées de plus en plus restreintes, accomplissant des vols à la tire et des crochetages au fil de votre progression. Être repéré dans une zone privée signifie être escorté par un garde, tandis que la détection dans une zone sécurisée entraîne une réponse policière immédiate. Vous pouvez retarder cette intervention en utilisant des otages comme monnaie d’échange. Il est surprenant qu’il ait fallu attendre le troisième volet pour voir l’introduction d’un système de niveaux d’accès.

Furtivité à son apogée dans Payday 3

Les braquages sont relativement divertissants, mais leur durée est un peu courte, variant entre 15 et 30 minutes chacun. Avec un total de huit missions réparties dans différents lieux, dont une banque, un bijoutier et une galerie d’art, vous n’obtiendrez que quelques heures de contenu avant de répéter les missions à des niveaux de difficulté plus élevés. Bien que les options de difficulté soient variées, allant de Normal à Overkill, les différences se résument principalement au nombre d’ennemis et à leur résistance accrue. On aurait souhaité plus de défis en ce qui concerne la désactivation des systèmes de sécurité et le décryptage des codes d’accès, étant donné l’importance accrue de la furtivité.

Un univers de braquage en quête d’évolution

Bien que Payday 3 puisse être joué en solo, vous serez assisté par trois coéquipiers contrôlés par l’IA, qui laissent parfois à désirer en matière de compétence. Les ennemis ne sont pas beaucoup plus impressionnants, se démarquant souvent de manière flagrante et tirant sans discernement. Malgré une variété d’unités de police ennemies, telles que les grenadiers, les porteurs de boucliers anti-émeutes, les unités Taser et les tireurs d’élite, l’IA ne parvient pas à briller comme on l’aurait espéré.

En dehors des missions, la personnalisation de vos armes, équipements et cosmétiques se fait à travers une interface utilisateur complexe. Les achats nécessitent de l’argent volé lors des braquages, mais certains objets sont verrouillés derrière une monnaie du jeu, les C-stacks, qui s’acquièrent lentement. Les mises à niveau sont également laborieuses, avec des milliers de défis n’offrant que des récompenses XP peu attrayantes.

L’interface utilisateur présente de nombreux problèmes, notamment des problèmes de précision lors de l’interaction avec des objets. Les cinématiques du jeu sont rudimentaires et se présentent sous forme de diaporamas d’art conceptuel accompagnés de sous-titres, ce qui semble déconnecté du reste du jeu.

Malgré quelques moments agréables, Payday 3 souffre d’un manque de contenu, d’un gameplay daté, d’une IA décevante et de cinématiques sous-développées. Si vous êtes un fan de la série à la recherche d’une évolution significative, vous pourriez être déçu. Cependant, si vous cherchez un jeu multijoueur pour vous amuser pendant quelques heures, il pourrait vous suffire.

Payday 3, est disponible dès maintenant sur PS5 et Xbox Séries au prix moyen de 39.99€ dans toutes les bonnes boutiques.

Kojiro du Clan Fuma : Une nouvelle aventure épique dévoilée chez NaBan en 2024 !

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Les aficionados de l’univers créé par le célèbre Masami Kurumada, l’architecte incontesté de la renommée série Saint Seiya, seront pleinement satisfaits d’apprendre que Kojiro du Clan Fuma verra bientôt le jour chez les éditions naBan !

En effet, à compter du printemps 2024, cette maison d’édition indépendante s’apprête à réaliser un coup de maître supplémentaire dans le domaine du manga vintage et patrimonial, étoffant ainsi sa bibliothèque déjà marquée par des titres tels que Destination Terra et Arion. NaBan offrira aux lecteurs français la chance de plonger dans l’univers captivant de cette autre œuvre légendaire de l’illustre mangaka. Cette histoire vous transportera dans les péripéties de Kojiro, un guerrier redoutable et énigmatique, membre à part entière du mystérieux Clan Fuma.

Découvrez la collection Naruto Shippuden chez Celio : Prêt-à-Porter animé à l’Honneur !

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Celio, la prestigieuse enseigne de prêt-à-porter, propose une variété de produits en lien avec l’univers des animés.

Depuis le 28 août, une toute nouvelle collection en collaboration avec la célèbre série « Naruto Shippuden » est disponible.

Cette nouvelle gamme comprend douze articles, parmi lesquels on trouve quatre t-shirts au prix de 19,99€ chacun, un t-shirt à 23,99€, deux hoodies à 39,99€ l’unité, une veste Popover à 79,99€, un pantalon à 59,99€, un jogging à 39,99€, une chemise au style baseball à 35,99€, ainsi qu’une casquette à 19,99€. Vous pouvez également découvrir d’autres produits passionnants chez Celio !