✨ Harry Potter : Daniel Radcliffe transmet son soutien à la nouvelle génération

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Daniel Radcliffe, qui a incarné Harry Potter dans huit films emblématiques, a pris le temps de contacter Dominic McLaughlin, le jeune acteur qui reprend le rôle principal dans la nouvelle adaptation en série sur HBO.

Radcliffe a expliqué dans une interview :

« Je ne veux pas être un spectre dans la vie de ces enfants, mais je voulais leur souhaiter un super moment sur le tournage, encore meilleur que le mien. »

Cette démarche montre à quel point l’ancien Harry reste attaché à l’univers de Poudlard et aux valeurs de soutien et de camaraderie qu’il y a découvertes.

🤝 Encouragements et nostalgie

En observant les premières images du casting, Radcliffe confie ressentir une émotion forte :

« Je les regarde et je me dis : « C’est fou, je faisais déjà ça à leur âge. » »

Il exprime également son envie de protéger et d’encourager les jeunes acteurs, soulignant la responsabilité affective que représente ce rôle pour une nouvelle génération de fans.

🎬 Le casting complet de la série HBO

Outre Dominic McLaughlin, le casting réunit :

  • Arabella Stanton dans le rôle de Hermione Granger

  • Alastair Stout en Ron Weasley

  • John McLaughlin pour le rôle du Survivant

Cette nouvelle adaptation promet de revisiter les aventures du célèbre sorcier avec une perspective fraîche et des talents encore jeunes, tout en respectant l’héritage de la saga originale.

💫 Une passation de flambeau touchante

Le geste de Daniel Radcliffe va bien au-delà d’une simple lettre : il incarne un pont émotionnel entre l’ancienne et la nouvelle génération. Pour les fans, c’est un signe fort que la magie d’Harry Potter continue de réunir acteurs et spectateurs, malgré le temps qui passe.

Tomb Raider Colossal Collection Volume 2

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Suivez Lara Croft alors qu’elle traque la mine d’or du Hollandais perdu dans le désert de l’Arizona, qu’elle recherche la cité perdue de l’El Dorado dans les jungles d’Amérique du Sud et qu’elle se rend en Nouvelle-Zélande à la recherche d’une amulette mystique vieille de cinq mille ans. Les aventures abondent et les récompenses sont immenses, mais le pillage des tombes est une activité dangereuse. Lara doit affronter des adversaires mortels, des magnats mégalomanes aux esprits maléfiques anciens, dans sa quête des plus grands trésors du monde. Mais il n’y a pas de sommet trop périlleux ou de temple trop traître pour Lara Croft !

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👻 Guillermo del Toro et Le Hobbit : un tournage hanté en Nouvelle-Zélande

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Guillermo del Toro, célèbre réalisateur mexicain, connu pour ses films d’horreur et de fantasy, devait initialement diriger Le Hobbit : Un voyage inattendu. Mais un voyage en Nouvelle-Zélande l’a profondément marqué.

Lors de la préparation du film adapté du roman de J.R.R. Tolkien, del Toro a visité de nombreux lieux pour choisir les décors idéaux. Parmi eux, le Waitomo Caves Hotel, un établissement réputé pour ses chambres hantées, a complètement bouleversé le cinéaste.

🛌 La chambre hantée : un cauchemar éveillé

Del Toro raconte à Jimmy Kimmel avoir demandé au personnel de l’hôtel : « Quelle est la chambre la plus hantée ? » Sa curiosité s’est transformée en traumatisme.

« Je regardais Stringer Bell et, soudain, j’ai entendu un meurtre en plein milieu de la pièce. Les cris, les coups de couteau, les pleurs… Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. »

Le réalisateur précise que l’hôtel était quasiment vide à cette période, renforçant l’impression de solitude et de tension. L’expérience a été si intense que del Toro a passé la nuit entière devant son ordinateur, incapable de se retourner, craignant de voir quelque chose sur le balcon ou dans l’aile de l’hôtel.

🕵️‍♂️ Entre rationalité et paranormal

Kimmel a tenté d’expliquer les événements de manière rationnelle, mais del Toro reste convaincu. Aucun autre employé ou résident n’était présent dans l’hôtel : « Je me suis retrouvé seul dans l’aile est, tandis que tous les autres étaient dans l’aile ouest. » Cette expérience a contribué à son abandon du projet du Hobbit, après plusieurs reports et ajustements.

✨ Quand l’horreur rencontre la fantasy

Cette anecdote illustre parfaitement le lien entre le cinéma de Guillermo del Toro, l’horreur et la fantasy immersive. Même en repérage, le réalisateur ne peut échapper aux ambiances inquiétantes qui nourrissent sa créativité.

Si Le Hobbit : Un voyage inattendu a finalement été réalisé par Peter Jackson, del Toro a laissé une empreinte dans l’histoire du projet, entre imagination, mystère et frissons paranormaux.

Superman – Steelbook édition spéciale Zavvi

Superman se retrouve impliqué dans des conflits aux quatre coins de la planète et ses interventions en faveur de l’humanité commencent à susciter le doute. Percevant sa vulnérabilité, Lex Luthor, milliardaire de la tech et manipulateur de génie, en profite pour tenter de se débarrasser définitivement de Superman. Lois Lane, l’intrépide journaliste du Daily Planet, pourra-t-elle, avec le soutien des autres méta-humains de Metropolis et le fidèle compagnon à quatre pattes de Superman, empêcher Luthor de mener à bien son redoutable plan ?

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⚡ Avengers – Doomsday : un chantier XXL avant sa sortie repoussée

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Le report d’Avengers – Doomsday à décembre 2026 semblait d’abord un contretemps… mais il devient finalement une aubaine stratégique pour Marvel et les Frères Russo.
Selon les premières informations, le film entre dans une phase de post-production intense, suivie de reshoots planifiés au printemps. Ces nouvelles scènes ne sont pas de simples retouches : elles permettraient de restructurer les derniers actes, encore décrits comme « non finalisés ».

Cette fenêtre supplémentaire offre à Marvel la possibilité de solidifier le lien narratif entre Doomsday et Avengers – Secret Wars, dont le tournage débute à l’été. Une coordination rare… mais nécessaire pour un diptyque aussi massif.

🧩 Une transition vers Secret Wars beaucoup plus ambitieuse

Les insiders sont unanimes : Marvel veut offrir une connexion directe entre les deux films.
Cela pourrait inclure :

  • l’ajout d’une nouvelle scène post-générique,

  • une réécriture partielle des dernières séquences,

  • l’intégration de variants multiversels encore absents des premières versions du scénario.

Les reshoots ne seraient donc pas un « pansement », mais une véritable extension narrative destinée à préparer le spectateur à l’événement final du MCU.

💥 Le spectre du retour de Thanos refait surface

Josh Brolin a récemment laissé entendre qu’il pourrait reprendre le rôle de Thanos “si Joe Russo l’appelle”.

Cette déclaration tombe à pic, car plusieurs sources évoquent une scène où Fatalis affronte – et élimine brutalement – un variant de Thanos. Un moment choc, parfaitement taillé pour relancer l’intérêt du public… et idéal à tourner durant les reshoots.

🔮 Wanda Maximoff : une absence trop étrange pour être définitive

La Sorcière Rouge, pourtant centrale dans la saga multivers, ne figure officiellement au casting ni de Doomsday, ni de Secret Wars. Pourtant, Elizabeth Olsen affirme ne pas savoir quand elle reviendra, ce qui n’exclut rien – surtout dans ce climat de réécriture.

Dans les comics, Fatalis tente de manipuler Wanda amnésique pour absorber ses pouvoirs (La Croisade des Enfants). Difficile de ne pas faire le parallèle. Les reshoots seraient donc le moment parfait pour l’intégrer sans fuite préalable.

🧬 Les X-Men : la pièce manquante de l’équation

La présence confirmée de Jackman, Stewart et McKellen contraste avec l’absence notable de Famke Janssen, pourtant emblématique dans son rôle. Marvel pourrait profiter des nouvelles scènes pour équilibrer le casting mutan, ou offrir un caméo éclair aux X-Men manquants afin de compléter le tableau multivers.

Edward aux mains d’argent – Blu-ray 4K

Dans un château niché au sommet d’une colline vivait un génial inventeur qui créa Edward. Bien que gratifié d’un charme irrésistible, ce dernier n’était pas tout à fait parfait. La mort soudaine de l’inventeur l’avait laissé pourvu de ciseaux acérés en guise de mains. Edward vivait reclus dans l’obscurité jusqu’au jour où la douce demoiselle Avon lui fit goûter aux joies d’un véritable foyer.

Disponibilités :
Fnac 29,99€

🎬 Marsupilami : la bande-annonce officielle est là !

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La Bande à Fifi revient avec un compagnon très spécial dans Marsupilami, et la bande-annonce vient tout juste d’être dévoilée — et ça promet du grand n’importe quoi… en mode aventure pop et cartoon live-action !

👥 Un casting 5 étoiles pour une aventure délirante

Dans les rôles principaux, on retrouve Philippe Lacheau, Jamel Debbouze, Tarek Boudali, Élodie Fontan, Julien Arruti, Alban Ivanov, Reem Kherici, Corentin Guillot… et Jean Reno ! Une sacrée brochette d’humoristes et d’acteurs populaires, prête à embarquer pour une odyssée totalement loufoque.

🐾 De la croisière au chaos avec un bébé Marsupilami

L’intrigue débute quand David, prêt à tout pour garder son job, accepte un plan foireux : rapatrier un colis mystérieux depuis l’Amérique du Sud. Il part en croisière avec son ex, Tess, son fils Léo, et son collègue un peu maladroit, Stéphane, chargé de transporter le colis à sa place. Mais tout dérape quand le paquet s’ouvre… et révèle un adorable bébé Marsupilami. À partir de là, la croisière se transforme en un vrai chaos pleine de rires, d’action et de tendresse.

🌴 Une aventure visuelle pleine de charme

La bande-annonce mise sur un ton léger, coloré et absurde : entre la jungle luxuriante, des scènes de slapstick et des moments tendres, on sent que le film joue autant sur l’émotion que sur l’humour. Le Marsupilami, figure iconique du comics/BD de Franquin, est ici incarné de façon mignonne mais pas trop gnangnan — il apporte une dose de magie et d’imprévu très bienvenue.

📅 Quand le voir sur grand écran ?

Marsupilami sortira en salle le 4 février 2026. Si tu aimes les films familiaux, déjantés, avec un bon mélange d’aventure et d’humour, c’est probablement l’un des films à surveiller au ciné cet hiver / ce début d’année 2026.

🔭 Pourquoi ça peut intéresser les geeks & fans de pop culture

  • Le Marsupilami est un personnage légendaire de la BD franco-belge, donc déjà très ancré dans la culture pop / geek.

  • Le mélange live-action + créature cartoon rappelle des classiques ciné / séries mêlant animation et réalité.

  • Le casting humoristique promet des moments décalés, parfaits pour les fans d’humour français et de comédie familiale.

⚔️ Avis manga – Mujina Into The Deep, tome 1 (Kana)

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Avec Mujina Into The Deep, Inio Asano signe un retour aussi brutal que fascinant. Connu pour Solanin, Bonne nuit Punpun ou encore Dead Dead Demon’s Dededede Destruction, l’auteur explore ici une dystopie coupante comme une lame de katana.

Dès les premières pages, le lecteur est immergé dans un Japon futur proche, où la société se divise en deux classes : les citoyens, contrôlés de manière étouffante, et les non-citoyens, exclus de tout – transports, soins, moyens de paiement. Ces laissés-pour-compte sont surnommés les Mujina.

Parmi eux, certains deviennent des assassins mercenaires, de véritables icônes sur les réseaux, adulés pour leurs exécutions millimétrées au katana. C’est dans ce monde froid et brutal que s’impose Ubume, la protagoniste de ce premier tome.

🩸 Ubume, une assassin magnétique

Le récit démarre pied au plancher : mission échouée, fuite, tension, puis la rencontre décisive avec un groupe de personnages atypiques qui bouleversera la trajectoire d’Ubume. Asano maîtrise parfaitement l’art du chaos organisé : un mélange de violence sèche, de confidences inattendues et de moments suspendus, typiques de son style.

Ce tome 1 impressionne par son rythme effréné et la richesse de ses idées. L’auteur joue avec les codes de la SF d’anticipation, glissant subtilement une critique acérée de nos sociétés modernes : surveillance, déshumanisation, fracture sociale, culte médiatique des figures violentes… partout, le sous-texte grince.

🔥 Un manga adulte, nerveux et visuellement percutant

Asano ne ménage pas son lecteur : scènes de sexe explicites, combats stylisés, tension omniprésente. Le titre s’adresse clairement à un public adulte. Visuellement, c’est une réussite totale : les chorégraphies au katana sont d’une précision chirurgicale, avec une mise en scène dynamique qui sublime chaque affrontement.

La galerie de personnages secondaires mérite d’être soulignée : extravagants, instables, parfois inquiétants, ils apportent une saveur unique à l’ensemble et renforcent l’atmosphère d’un futur détraqué mais terriblement crédible.

🚀 Une série prometteuse qui démarre très fort

Après une première lecture en VO, puis une relecture aujourd’hui, ce tome 1 impressionne davantage encore. On sent qu’Asano pose ici les fondations d’un univers vaste, flexible, potentiellement imprévisible — comme il l’avait fait avec Dead Dead Demon. L’envie d’enchaîner sur le tome 2 est immédiate.

Impossible cependant de s’emballer totalement sans connaître la suite : une prudence qui n’empêche pas d’apprécier ce démarrage aussi intense qu’ambitieux.

Le manga Mujina Into The Deep, tome 1 (Kana), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 13.95€

🏡 Quatre filles et une coloc : le josei tendre de Delcourt/Tonkam

Au printemps 2026, les éditions Delcourt/Tonkam enrichiront leur catalogue avec Quatre filles et une coloc, une série josei en trois tomes signée Mizoko Tsuno.

Prépubliée au Japon entre 2021 et 2023 dans le magazine Comic Qurie de l’éditeur Overlap, sous le titre Hitori de Ikiru wa Mamanaranu, cette série promet de mêler douceur graphique et subtilité scénaristique.

👩‍❤️‍👩 Une colocation pas comme les autres

Le manga suit le quotidien d’une colocation composée de quatre jeunes femmes, chacune avec sa personnalité, ses habitudes et sa vision de la vie. Entre rires, moments de complicité et petites disputes, le récit explore les défis de la trentaine, une période pleine de doutes, de choix professionnels et personnels, ainsi que de questionnements sur l’amour et l’amitié.

L’éditeur insiste sur le ton juste de la série : pas de clichés ni de jugement hâtif. Chaque personnage est traité avec empathie, permettant aux lecteurs de s’identifier à leurs parcours et à leurs réflexions. Les dialogues fluides et les scènes du quotidien rendent le récit à la fois ludique, touchant et crédible.

🎨 Douceur graphique et ambiance chaleureuse

Le trait de Mizoko Tsuno apporte une tendresse visuelle à cette colocation, avec des planches claires et expressives. L’équilibre entre scènes comiques et moments plus introspectifs donne un rythme agréable, tandis que l’esthétique graphique renforce la proximité avec les personnages. Chaque sourire, chaque expression est soigneusement travaillée pour refléter les émotions de la vie quotidienne.

🔗 Pourquoi ce josei est à suivre

Quatre filles et une coloc s’adresse autant aux lectrices qu’aux lecteurs curieux de découvrir un josei moderne et réaliste. La série promet une immersion douce dans un univers où la trenteaine, les relations amicales et la construction de soi sont explorées avec subtilité. Pour ceux qui souhaitent enrichir leur collection, ce titre s’inscrit parfaitement aux côtés d’autres josei publiés par Delcourt/Tonkam.

Ce trio de tomes devrait séduire les amateurs d’histoires sensibles, réalistes et touchantes, qui savent combiner humour, émotion et réflexion sur le quotidien.

❄️ Avis manga – Odr, tome 1 (Kana)

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Odr, tome 1, signé par un auteur français et publié aux éditions Kana, attire immédiatement la curiosité. Dès les premières pages, on plonge dans une atmosphère glaciale, silencieuse, presque mystique, portée par des illustrations d’une finesse remarquable. Le trait, précis et expressif, installe une ambiance nordique où chaque souffle de vent semble traverser le lecteur.

Ce premier tome, dense avec ses près de 340 pages, se lit pourtant avec une étonnante fluidité. La mise en scène adopte un découpage très cinématographique, alternant gros plans, paysages sauvages et scènes d’action viscérales. Impossible de ne pas se laisser happer.

🪓 Une rencontre marquante dans des terres hostiles

L’histoire met en lumière un guerrier scandinave, marqué par son passé, vivant en ermite au cœur de la forêt. Sa solitude bascule lorsqu’une jeune femme mystérieuse croise sa route. Le récit reste avare en dialogues mais cela renforce l’aura dramatique et froide du manga.

Sans dévoiler les secrets de cette héroïne « différente », on peut dire que leur duo fonctionne à merveille. L’alchimie repose davantage sur les regards, la tension et les silences que sur la parole. L’auteur maîtrise parfaitement cette narration minimaliste, qui donne à chaque scène un poids particulier.

🩸 Une œuvre forte… mais parfois trop sage

Attention toutefois : certaines scènes sont très violentes, sanglantes, presque dérangeantes. Odr n’est pas destiné à tous les publics. Les amateurs de seinen sombres et brutaux, eux, seront comblés.

Malgré toutes ses qualités, le récit manque parfois de complexité ou de profondeur dans les dialogues. Le scénario, volontairement simple, avance sans véritable surprise. On aurait aimé un peu plus d’ambition narrative pour transformer ce très bon début en grand moment de lecture.

📚 Un tome 2 très attendu

Même avec ces réserves, impossible de nier la puissance de ce premier tome. L’immersion est totale, l’univers captivant et la direction artistique superbe. Mention spéciale au lexique sur la mythologie nordique, une excellente idée qui enrichit la lecture.

Cette duologie laisse un goût de trop peu tant l’univers semble vaste. Le tome 2 sera déterminant : si la conclusion est à la hauteur, Odr pourrait devenir une petite pépite du catalogue Kana.

Le manga Odr (tome 1 – Kana), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 13.95€