
Bonus exclusif :
– 1 nouvelle couverture avec un effets
– Les pages couleurs originales du magazine de prépublication
– en bonus l’épisode 0, le chapitre pilote inédit à l’origine de l’attaque des titans
Disponibilités :
– Fnac 9,50€

Bonus exclusif :
– 1 nouvelle couverture avec un effets
– Les pages couleurs originales du magazine de prépublication
– en bonus l’épisode 0, le chapitre pilote inédit à l’origine de l’attaque des titans
Disponibilités :
– Fnac 9,50€
Dragon Ball Z: Kakarot est maintenant disponible sur les consoles de nouvelle génération, PlayStation 5 et Xbox Series X|S. Les développeurs avaient promis des améliorations graphiques et de performances pour une meilleure expérience de jeu. En termes visuels, on peut constater des textures plus détaillées, des environnements plus fournis en végétation et de l’eau avec des reflets.
Cependant, il ne s’agit pas d’une révolution graphique par rapport à la version précédente sur PS4. Il est possible de choisir entre « Qualité graphique » et « Performances« . Le choix personnel est de privilégier la fluidité d’animation en mode performance pour les combats emblématiques de la licence.

Les fans apprécieront de revivre l’histoire des mangas/animés, les combats sont dynamiques mais la partie RPG est moyenne avec un farming ennuyeux et des quêtes secondaires peu intéressantes. Le temps de chargement est très rapide.
Les amateurs de jeux de cartes à collectionner seront heureux de savoir que le DLC gratuit Dragon Ball Card Warriors est immédiatement disponible, mais uniquement en mode contre la console car le service de jeu en ligne a été arrêté. Pour les fans qui n’ont pas encore acheté une version précédente, cette version « next gen » de Dragon Ball Z: Kakarot est la plus aboutie disponible en édition standard boîte et digitale : Deluxe contenant le season pass 1 et un objet de cuisine deluxe, Legendary contenant les season pass 1 et 2, un objet de cuisine deluxe, un objet de cuisine légendaire et surtout le pilier de Tao Pai Pai comme moyen de transport amusant.

Dragon Ball est une licence qui a su traverser les générations, comme en témoigne le succès récent de Dragon Ball FighterZ. Le public reste toujours aussi enthousiaste pour l’univers de Dragon Ball Z. Cependant, cela suffit-il pour que Dragon Ball Z : Kakarot soit un succès ? Le studio CyberConnect2, qui est en charge de ce titre, est connu pour son savoir-faire et sa capacité à jouer sur le fan service.

Dès le lancement du jeu, on est immédiatement frappé par la musique remastérisée et les voix originales en japonais, pour une immersion totale dans l’univers de Dragon Ball Z. Le jeu nous plonge dans l’histoire de la série, depuis l’arc des Saiyens avec l’arrivée de Raditz sur Terre, jusqu’à la mort de Buu. Chaque arc est découpé en épisodes, comme dans la série, avec une voix off pour annoncer le début/fin de chaque chapitre. On démarre donc l’aventure avec Goku et Gohan qui se promènent près de chez eux. On peut rapidement constater que l’environnement est bien modélisé et fidèle à l’anime.
Le jeu nous propose également des activités annexes telles que la pêche et la cuisine, qui nous permettent de nous détendre entre les combats. J’ai testé le jeu sur PlayStation 4 et la maniabilité avec la manette est plutôt bonne, intuitive, sauf pour la gestion de l’altitude en vol, qui utilise L3 pour voler plus rapidement ou courir plus vite. Cela fonctionne, mais peut prendre un peu de temps à s’habituer.
En cours de jeu, on est introduit aux « orbes Z« , qui servent à améliorer les compétences de vos personnages (Goku, Gohan, Piccolo, Vegeta, etc.). Ces orbes permettent de débloquer de nouveaux niveaux de compétences et de débloquer de nouvelles capacités. Par exemple, vous pourrez rendre votre Masenko (tir énergétique de Gohan) plus puissant ou le passer en super Masenko. Cependant, j’ai été un peu déçu par le fait que ces orbes sont absolument partout, au sol, en l’air, sous l’eau, etc. Cela casse un peu l’immersion pour un jeu de rôle action, surtout que l’on se rend compte après quelques heures que c’est inutile, car éliminer un monstre rapporte également des orbes et est beaucoup plus rentable que de passer du temps à voler en rond pour en récolter.

Le monde de jeu n’est pas entièrement ouvert, les zones sont découpées via une carte du monde, et il suffit de cliquer pour se déplacer d’une zone à l’autre. Dans chaque zone, le Dragon radar nous permet de voir les points d’intérêts, les quêtes principales et secondaires, etc. Les zones ne sont pas très grandes, mais on peut quand même s’amuser à voler un peu partout. Certaines zones sont parfois bloquées et il faut attendre un certain niveau pour y accéder (par exemple une grotte sous-marine déblocable au niveau 20). En somme, il y a des aspects positifs et négatifs dans ce jeu.
En ce qui concerne les combats, le système de combat est bien pensé, avec l’accumulation d’énergie via le triangle, les coups spéciaux avec L1 + combinaison de touches, et l’assistance R1 + combinaison de touches. Les combats ne sont pas toujours en 1 contre 1 ou 1 contre X, il peut s’agir de combats 3v3 (mais on reste aux commandes de notre personnage principal), comme par exemple le combat Gohan / Piccolo / Krilin contre Nappa au début. Les combats sont très dynamiques, mais une fois que l’on a compris la méthodologie, ils deviennent un peu trop simples. Cependant, cela ne gâche pas le plaisir de jouer car ils sont amusants à cerner et il est satisfaisant d’arriver à contrer la logique de l’ennemi. Cela affecte bien sûr la rejouabilité du titre. Le jeu est assez long, comptez au moins 30 heures pour arriver à la fin.

Une de mes déceptions est cependant liées aux éléments annexes de l’histoire principale. Les quêtes secondaires sont peu intéressantes et consistent généralement à éliminer quelques robots ou à récolter 1 ou 2 objets dans la région, ce qui est dommage car le lore de Dragon Ball offre tellement plus que cela. Il y avait vraiment de quoi faire des choses plus intéressantes et plus stimulantes avec des personnages comme Franky, Pilaf, Dende, etc.
En résumé, Dragon Ball Z: Kakarot est un jeu qui présente des aspects excellents et d’autres moins bons. Du côté des aspects positifs, les combats et les animations sont incroyablement intenses, les attaques énergétiques sont impressionnantes à l’écran, et les cinématiques sont très bien réalisées. Cependant, certaines scènes manquent d’intensité et la censure est malvenue à certains moments. Le découpage des zones également est un point négatif, les chargements entre les zones sont assez longs. Les quêtes secondaires sont également décevantes, et il y a des mini-jeux dans la série qui mériteraient d’être plus approfondis et qui auraient pu être intégrés dans ces quêtes. Malgré ces points négatifs, il y a des bonnes idées dans ce jeu qui mériteraient d’être explorées davantage.

En conclusion, Dragon Ball Z: Kakarot est un jeu qui mérite un meilleur traitement général, car certains aspects de la réalisation sont bons, voire excellents, mais ils sont trop écrasés par une foule de détails qui peuvent vraiment frustrer le joueur. Cependant, pour les fans de la licence, le jeu reste sympa à jouer et suit la trame de l’histoire de Dragon Ball Z, mais il y a des améliorations à apporter. Il y a également de la matière pour des chapitres inédits venant des OAVs ou autres fillers de la série, et peut-être même un jeu consacré à l’histoire de l’enfance de Goku.
Dragon Ball Z Kakarot est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes boutiques au prix moyen de 50€
Urban Comics nous offre un cadeau cette année en lançant une nouvelle collection intitulée « Batman Chronicles », qui se concentrera sur l’année 1987 du célèbre justicier masqué. Cette collection sera publiée en deux volumes, le premier étant déjà disponible.
Depuis de nombreuses années, Batman est le héros phare de l’éditeur, avec des ventes garanties et de nombreux grands auteurs s’occupant de ses histoires. L’éditeur français a également fait en sorte que Batman ait des publications régulières. Cependant, il y avait encore certains moments clés de l’histoire de Batman qui n’avaient pas encore été explorés. Cette nouvelle collection comblera cette lacune en se concentrant sur une année spécifique de l’histoire de Batman.

« Batman Chronicles » est une collection de Panini Comics qui regroupe les deux principales séries de Batman : « Batman » et « Detective Comics » dans l’ordre chronologique.
Cette collection existe depuis plusieurs années et propose des intégrales pour d’autres personnages populaires tels que les X-Men, Spider-Man et Hulk. Cependant, il y a une différence importante entre cette collection et les autres. En raison de la création de Batman en 1939, les premières histoires du personnage sont assez datées tant au niveau du scénario que de l’illustration. Bien que l’intérêt patrimonial de ces premières histoires soit indéniable, il n’était pas judicieux de les publier dans ce format pour une publication à long terme.
Urban Comics a donc décidé de débuter cette nouvelle collection avec une première intégrale se concentrant sur l’année 1987. Cette année est importante car c’est l’année où Denny O’Neil a pris le poste de rédacteur en chef et a supervisé la publication de Batman. Il a amené le personnage vers un côté plus sombre, réflexif, violent et a contribué à construire l’identité changeante et complexe de Batman.

« Batman Chronicles 1987 Volume 1 » comprend donc les épisodes 402 à 414 de la série régulière « Batman », ainsi que « Batman Annual » numéro 11 et le one-shot « Batman Son of the demon ». Cela donne un total d’environ 500 pages de lecture. Malgré cette quantité de contenu, l’objet en lui-même est agréable à manier grâce à sa couverture souple. L’album est également de belle facture, solide et présente une fresque en devenir sur le dos. Il est important de noter que cette édition inclut également un accompagnement éditorial conséquent et de qualité, ce qui est crucial dans une republication de ce genre.
Les épisodes 402 et 403 ouvrant cette intégrale sont un diptyque écrit par Max Collins, un romancier qui écrit pour la première fois une histoire de Batman. Il se retrouve confronté à un copycat, un scénario qui a été utilisé maintes fois mais qui apporte ici des questionnements intéressants tels que la justice, l’image qu’il renvoie aux habitants de Gotham et les limites qu’il doit s’imposer.
Cela est un préambule approprié pour les quatre chapitres suivants qui composent la célèbre histoire « Batman Year One ». Je me suis réjoui de relire ce récit, considéré comme l’un des meilleurs de Batman, qui est un incontournable pour comprendre le personnage et le meilleur travail de Miller et Mazzucchelli. Il est intéressant de noter que les épisodes ont été colorisés de la même manière qu’à l’époque, plutôt que la version connue de l’album relié.
Les épisodes 409 à 414 sont essentiellement écrits par Max Collins, et un par Jim Starlin, le créateur de Thanos. Les histoires ont des qualités variables, mais chacune apporte une nuance supplémentaire à Bruce Wayne, trois d’entre eux se concentrant sur l’arrivée de Jason Todd. Il faut également mentionner l’histoire de Starlin, sombre et mélancolique, une superbe réussite et l’une des meilleures de l’intégrale. L’Annual 11 de Batman se concentre sur deux vilains, Gueule d’Argile et Le Pingouin. L’histoire du Pingouin n’est pas mémorable, mais Alan Moore nous livre une histoire tragique et malaisante sur Gueule d’Argile. Rarement le personnage n’a semblé si faible et humain. Enfin, « Son of the Demon » est une belle conclusion à l’intégrale, graphiquement excellent, sombre et réaliste, étonnant pour l’époque. L’histoire sera une inspiration pour la fantastique série de Grant Morrison.
« Batman Chronicles 1987 Volume 1 » est une réussite en tant qu’ouverture d’une collection que j’attends avec impatience de poursuivre. Il est agréable de relire les histoires cultes du personnage et de découvrir de nouveaux chapitres, oubliés mais pourtant importants pour comprendre l’évolution d’un héros que nous aimons tous.
Le comics Batman Chronicles (Tome 1), est disponibles dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 35€.
L’auteure Jun Mayuzuki, connue pour ses œuvres phares « Après la pluie » et « Kowloon Generic Romance » chez les éditions Kana, sortira un nouveau recueil intitulé « Sayonara Daisy » le 13 janvier 2023. Ce recueil, initialement publié au Japon en 2018 chez Shûeisha, sera disponible en France dans la collection Big Kana au prix de 9,95€. Il regroupe les œuvres de l’auteure de 2007 à 2017.
« Sayonara Daisy » est un recueil de six histoires courtes écrites par Jun Mayuzuki entre 2007 et 2017. Cette publication permettra aux lecteurs de découvrir les premiers travaux de l’auteure et de suivre l’évolution de son style de dessin, de narration et de découpage. Chacune des histoires met en scène une héroïne différente, attachante et désinvolte, comme dans les séries précédentes de Mayuzuki. Les histoires aborderont des thématiques sociétales peu traitées comme la transidentité, la société de consommation, l’aseptisation des dernières générations, l’addiction aux réseaux sociaux et l’image déformée qu’ils renvoient de nous-mêmes, la marginalisation, etc…
L’équipe éditoriale de Kana a pris en considération les scènes de sexe et les thématiques difficiles abordées dans l’oeuvre de Jun Mayuzuki, et a voulu éviter une mise sous blister jugée peu écologique et empêcher ainsi la découverte de l’oeuvre par un public inadapté. Au lieu d’utiliser un sticker « pour public averti« , l’éditeur a proposé deux jaquettes différentes pour l’ouvrage.
La jaquette principale, une proposition inédite, présente une vue d’ensemble de l’anthologie et de toutes les héroïnes, ainsi que l’évolution du trait de l’autrice. Cela permet d’éviter au maximum l’exposition de l’oeuvre auprès d’un public qui n’est pas en âge de lire les histoires. La jaquette réversible est très similaire à l’édition japonaise et permet de retrouver l’illustration dessinée par Jun Mayuzuki.
Le manga Jun Mayuzuki Anthologie est maintenant disponible dans toutes les bonnes librairies au prix de 9.95€

Résumé : Ce n’est pas parce que l’on a des pouvoirs magiques que l’on est forcément heureux, cependant… Ce recueil d’histoires courtes de la talentueuse autrice Jun Mayuzuki réunit Good Bye Daisy, son premier manga dépeignant avec intensité la beauté et l’absurdité des sentiments féminins qui a captivé le milieu du manga, ainsi que d’autres oeuvres de ses débuts publiées dans différentes revues. C’est un véritable concentré de génie retraçant son brillant parcours. Entre histoires d’amour, féminisme, sexualité & quête du bonheur Jun Mayuzuki vous partage ses réflexions.
Les chapitres :
Avec la fin de la guerre contre le groupe criminel Tenjiku et la mort tragique de Kisaki, Mikey, le leader du gang Tokyo Manji, a décidé de dissoudre le groupe pour offrir un avenir meilleur à ses membres. Takemichi, le héros de l’histoire, retrouve donc une époque paisible et idéale. Cependant, malgré cette situation favorable, il se rend compte qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Il doit alors faire ses adieux à ses amis du passé lors d’un événement heureux.

Avec la mort de Kisaki et la dissolution du Toman, il semblait que l’histoire de Tokyo Revengers arrivait à son terme. Cependant, le 22ème tome de la série, loin d’être l’épilogue attendu, marque plutôt le début d’un nouvel arc narratif. En effet, il reste encore 10 tomes avant la conclusion de la série, ce qui signifie que l’auteur Ken Wakui a encore beaucoup d’histoire à raconter. Ce dernier arc s’annonce donc comme étant le plus long et le plus intense de tous.
En tant que lecteur japonais découvrant l’histoire au fil des publications, la révélation que la série continue pour un certain temps peut être surprenante. Ken Wakui joue habilement avec les attentes du lecteur en présentant une situation présente idyllique pour chacun des personnages, en utilisant notamment le ressort du mariage pour suggérer un happy end. Cependant, il déconcerte le lecteur en posant la question de Takemichi : « Où est Mikey? » , ce qui vient tout remettre en question et montre que l’histoire n’est pas encore terminée.

Après cette question simple mais intrigante, Wakui réussit à ramener la noirceur qui caractérise son œuvre et à révéler les éléments clés de son dernier arc narratif. Il joue avec les attentes du lecteur en présentant des éléments subtils et en créant le doute. Même si Mikey est absent, est-il encore des choses à accomplir dans le passé? Les questions sont d’autant plus intéressantes que Mikey est souvent présenté comme une force destructrice, capable de causer des dégâts considérables autour de lui. Si la mort d’Emma était présentée comme l’élément déclencheur de sa face sombre, il est possible qu’il reste encore des éléments à explorer et un Mikey à sauver.
Le tome 22 de Tokyo Revengers sait se montrer passionnant en utilisant une fausse conclusion ingénieuse et une introduction délicate vers le dernier arc narratif de la série. En effet, la bataille contre le Tenjiku n’a pas tout à fait l’air d’être la bataille finale, il reste encore des éléments à développer. C’est sans doute ce que le dernier segment de la série fera via un arc centré autour de Mikey. Même après plus de vingt tomes, Ken Wakui réussit à maintenir l’attention du lecteur avec son histoire de Furyo SF.
Les tomes 1 à 22 du manga Tokyo Revengers sont d’ores et déjà disponibles dans toutes les bonnes librairies au prix de 6.90€
Les éditions nobi nobi!, annoncent l’arrivée d’un nouveau manga dans leur catalogue, Bibliophile Princess.
Le manga Bibliophile Princess (Princess of the Bibliophile) a débuté en 2018 au Japon aux éditions Ichijinsha et compte actuellement 7 volumes. La sortie du tome 1 prévue le 5 avril 2023 au prix de 7.20€.

Résumé : Jeune fille issue de l’aristocratie, Elianna est passionnée par les livres. Elle est la promise du prince héritier, son altesse royale Christopher. Sauf qu’en réalité, ces fiançailles ne sont qu’une façade : en échange de cette union, le prince laisse Elianna accéder à la bibliothèque royale comme bon lui semble. Quelques années plus tard, la jeune femme apprend que Christopher aurait une autre prétendante… Elianna se prépare donc à voir ses fiançailles annulées. Mais la situation va se révéler bien plus complexe qu’elle ne l’imagine…
Le rideau se lève sur une romance dans un univers fantasy et sur les premiers émois et confusions d’une jeune aristocrate passionnée de lecture !
Une mini-série racontant pour la première fois la jeunesse de Lupin the Third, avant qu’il ne devienne le fameux cambrioleur !
La saga Lupin the Third a été créée en 1967 par le mangaka Monkey Punch. Véritablement culte au Japon, elle a fait l’objet jusqu’à aujourd’hui de dizaines d’adaptations en séries d’animation et films (dont Le Château de Cagliostro, réalisé par Hayao Miyazaki).
En France, Lupin the Third est arrivé d’abord au cinéma, en 1981, avant d’être diffusé à la télévision sous le titre Edgar détective cambrioleur. Cette mini-série de 6 épisodes est produite par Telecom Animation Film, le studio de TMS Entertainment qui a signé la majorité des adaptations. L’histoire de LUPIN ZERO se déroule dans les années 1960. Elle est inédite, mais fait de nombreux clins d’œil à l’œuvre originale.

Résumé : Tandis que Tokyo connaît une formidable croissance économique, un jeune collégien mène une vie ennuyeuse. Un jour, il surprend un gars qui braque une arme sur un délinquant. Lorsqu’il recroise cette personne un peu plus tard, un événement les amène à faire équipe.
Ainsi commence l’histoire de celui qui deviendra le plus grand voleur de tous les temps…
Les éditions Kana, annoncent l’arrivée d’un nouveau manga dans leur catalogue, Noah’s Ark de Kenshiro Sakamoto. La sortie du tome 1 prévue le 10 mars 2023 au prix de 7.55€.

Résumé : L’Arche de Noé s’avérait être un grimoire devant sceller les âmes perdues qui répandent le Mal : les Anima. Tombée sous leur emprise, Pandora les libéra du grimoire. Toah, son frère jumeau, voyage désormais avec J, son fidèle acolyte, afin de retrouver les Anima et les emprisonner à nouveau dans l’Arche ! Il espère ainsi pouvoir libérer sa sœur jumelle de l’emprise des forces du Mal…