La saison 3 de « The Bear » : Date de sortie révélée par Disney+

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La série à succès « The Bear » de FX, centrée sur l’histoire de Carmy, un chef renommé revenant pour gérer le restaurant familial, a conquis les spectateurs avec sa première et deuxième saison acclamées. Après avoir obtenu un score de 99% sur Rotten Tomatoes et remporté des prix aux Golden Globes pour les performances de Jeremy Allen White et Ayo Edebiri, la saison 3 a récemment dévoilé sa probable date de sortie.

Une publication de la page Instagram de Disney+ UK a inclus « The Bear » dans sa programmation 2024, aux côtés d’autres productions notables telles qu’Echo de Marvel Studios et The Acolyte de Star Wars. Bien que la date précise ne soit pas confirmée, des rapports suggèrent que le tournage débutera fin février ou début mars, en accord avec des informations antérieures.

La saison 2 avait commencé sa production en février 2022 pour être diffusée en juin la même année. Si la saison 3 suit un schéma similaire, il est plausible qu’elle soit diffusée sur les plateformes FX et Hulu cet été, tenant compte des précédentes sorties estivales de la série. Cette révélation concernant la sortie imminente a suscité l’enthousiasme des fans qui attendent avec impatience le retour de « The Bear« .

Lucasfilm annonce l’expansion de The Mandalorian vers le grand écran avec un film centré sur Grogu…

D’après l’annonce récente de Lucasfilm, la série à succès The Mandalorian va franchir le cap du grand écran grâce à un film dirigé par Jon Favreau. Si le communiqué officiel confirme le démarrage de la production cette année, les détails demeurent rares, si ce n’est pour révéler le titre du film.

Ce dernier sera sobrement baptisé The Mandalorian & Grogu. Avec l’ajout de ce film à la liste, il y aura donc deux incursions cinématographiques reliées aux séries Star Wars diffusées sur Disney+, avec également le projet de Dave Filoni.

The Mandalorian & Grogu vient ainsi enrichir la gamme des films annoncés par Lucasfilm, incluant celui dirigé par Sharmeen Obaid-Chinoy se focalisant sur le Nouvel Ordre Jedi de Rey, celui de James Mangold se déroulant bien avant la Saga Skywalker, et celui de Dave Filoni potentiellement connecté à toutes les séries du « mandoverse ».

Remarquablement, le communiqué ne mentionne pas le projet de film dirigé par Taika Waititi (réalisateur de Thor: Love and Thunder) qui, récemment, a affirmé accorder la priorité à son adaptation d’Akira, reléguant ainsi son projet Star Wars au second plan.

Controverse autour de Noah Schnapp : Vers un possible boycott de la dernière saison de Stranger Things…

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Le commencement du tournage de la cinquième et dernière saison de la série à succès « Stranger Things » est désormais officiel. L’avenir des résidents de la paisible ville d’Hawkins demeure incertain, suscitant une grande curiosité chez les fervents admirateurs de la série. Cependant, une partie d’entre eux envisage sérieusement de ne pas suivre cette dernière saison.

Leur mécontentement se concentre principalement sur un élément particulier, et non des moindres : Noah Schnapp, le talentueux acteur derrière le personnage de Will Byers. Les récentes actions de ce dernier ont suscité une vague d’indignation.

Le jeune acteur âgé de 19 ans est apparu il y a peu dans une vidéo où il soutenait les messages « Zionism is Sexy » (Le sionisme est séduisant) et « Hamas is ISIS » (Le Hamas est l’État islamique). Bien qu’il ait appelé à la paix entre Israël et la Palestine, ses déclarations affirmant que « soit vous êtes pour Israël, soit vous soutenez le terrorisme », associées à cette vidéo, ont été mal reçues par une partie du public.

Cette controverse a engendré un appel au boycott, suggérant que si le personnage de Will n’est pas supprimé – possiblement la seule solution pour exclure ce personnage central de la série – dans cette dernière saison, celle-ci risque d’être délaissée.

Il est difficile d’envisager que la production ait pris en compte cet appel à l’exclusion, vu l’importance du personnage supposé rester au cœur de l’intrigue. Notamment, l’histoire du personnage ainsi que les révélations personnelles de Will et de l’acteur derrière lui ont conquis une grande partie des spectateurs.

À ce jour, la plateforme de streaming Netflix n’a pas encore communiqué la date de diffusion de la saison 5 de « Stranger Things ».

Le retour épique d’Akio Tanaka : River End Café, l’œuvre phare ancre ses racines en France !

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En ce début d’année 2024, les éditions Shiba amorcent une nouvelle dynamique avec l’annonce retentissante du retour tant attendu d’Akio Tanaka (connu pour ses œuvres telles que Coq de combat, Glaucos, et Tokyo River’s Edge) sur la scène littéraire française !

L’éditeur a récemment révélé l’acquisition de la série River End Café, une collection de 9 volumes. Cette série a été pré-publiée au Japon entre 2017 et 2021 dans les pages du magazine Manga Action, publié par les éditions Futabasha. Elle représente une œuvre singulière dans la bibliographie du mangaka, car elle plonge ses lecteurs dans l’univers de son village natal, Ishinomaki, fortement éprouvé par le séisme et le tsunami survenus en mars 2011. Chaque chapitre offre une variation tonale saisissante, oscillant entre des moments de vie quotidienne, des scènes de combat, des instants d’horreur et des situations totalement imprévisibles.

Ce mélange intrigant sera disponible dès le 8 mars prochain, date de sortie prévue du premier tome en librairies au prix de 8,95 €. En plus de l’édition standard, ce volume inaugural sera également proposé en édition limitée au même tarif, offrant une jaquette alternative dont le visuel sera dévoilé ultérieurement.

Avis manga – DRCL Midnight Children (tome 1)

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Dans la dernière sortie de Shinichi Sakamoto, #DRCL Midnight Children, une réadaptation de l’œuvre de Bram Stoker, Dracula subit une transformation visant à le rendre plus accessible, notamment pour les jeunes lecteurs peu familiers avec l’histoire originale.

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Avis manga – DRCL Midnight Children (tome 1)

Les premières pages transportent instantanément les lecteurs à bord du Déméter, instaurant un suspense haletant sans révéler immédiatement la menace à laquelle l’équipage est confronté. Cette introduction habile crée une atmosphère de tension et de peur persistante tout au long de l’œuvre.

Sakamoto utilise l’ignorance de l’équipage pour élever rapidement le suspense, tout en préservant un rythme qui permet à la panique et à la terreur de s’installer progressivement. Bien que la présence physique de Dracula aurait pu satisfaire les attentes des lecteurs, cette approche permet de présenter subtilement la menace du vampire, sans détourner l’attention de l’intrigue principale centrée sur Mina Murray et ses compagnons.

Si les premiers chapitres de #DRCL attirent les lecteurs en suscitant un inconfort mêlé de curiosité, la suite du manga adopte un rythme plus posé et délicat. Outre la promesse d’une tension palpitante, ce sont les personnages et leurs interactions qui captivent. Mina, clairement mise à l’écart en raison de son statut, de son sexe et de son apparence, reste une figure facile à soutenir grâce à son indomptable détermination face aux obstacles.

Le contraste entre elle et ses pairs plus conventionnels ajoute une certaine intrigue à sa relation mystérieuse avec Lucy, même si certains personnages secondaires mériteraient d’être plus développés. Bien que l’approche mystérieuse fonctionne pour l’intrigue principale, elle rend les personnages secondaires moins compréhensibles, les rendant plus difficiles à apprécier.

Sur le plan visuel, #DRCL offre des illustrations stupéfiantes qui captiveront même les passionnés d’horreur les plus exigeants. Sakamoto dépeint avec minutie les moments les plus terrifiants, tout en préservant une clarté visuelle et une interprétation vibrante. La différenciation entre les illustrations réalistes des paysages ou des expressions des personnages et celles plus surnaturelles mettant en scène des créatures comme Dracula est frappante, offrant une séparation nette entre le réel et le surnaturel, ce qui renforce l’ambiance de l’époque.

Dans l’ensemble, #DRCL Midnight Children laisse présager une suite, la fin abrupte laissant de nombreux fils narratifs à explorer. En tant que premier volume, il pose solide base pour une histoire complexe et riche en rebondissements. Bien qu’il s’appuie sur Dracula, il évite de reproduire le roman de manière littérale, offrant ainsi une interprétation rafraîchissante plutôt qu’une simple reproduction. Pour ceux avides d’horreur ou de littérature classique, ce premier volume promet un investissement intéressant.

Le manga DRCL Midnight Children (tome 1), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 7.95€

Résumé : À la fin du xixe siècle, un vaisseau russe embarque d’étranges caisses remplies d’une terre à l’odeur pestilentielle. La traversée des océans est un calvaire pour l’équipage : disparitions et morts suspectes s’enchaînent. Certains parlent d’un fantôme… Quand le bateau parvient enfin à destination en Angleterre, il a tout d’une épave flottante. Alors que la police portuaire se lance à la recherche de survivants, elle tombe sur une énorme créature mi-homme mi-loup, qui disparaît comme par magie…

Quelques instants plus tard, dans le cimetière de la ville, quatre élèves du prestigieux établissement Whitby assistent à une scène terrifiante : un de leurs camarades est capturé par une bête ténébreuse ! Seule Mina Murray, l’unique fille de l’établissement, a le courage de voler à son secours, mais il est déjà trop tard…

Numéro 245 d’Animeland : Découvrez le Studio Ghibli et Hayao Miyazaki à travers Le Voyage de Shuna !

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À mi-chemin du mois, le magazine Animeland présentera son 245e numéro dans les kiosques et chez les marchands de journaux, marquant ainsi le deuxième volet de sa récente refonte. Cette édition spéciale se consacrera au célèbre studio Ghibli et à son illustre fondateur, Hayao Miyazaki, mettant en lumière le manga intitulé Le Voyage de Shuna en couverture.

Affiché au prix de 14,95€, ce numéro sera disponible dès le 17 janvier dans les points de vente habituels. Les passionnés auront également la possibilité de le précommander en ligne via la boutique officielle d’Animeland, à l’adresse indiquée.

Avis manga – Laughing Under the Clouds (tome 1)

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En 1878, durant la période de restauration Meiji, le Japon a été confronté à une série de défis, notamment des soulèvements de criminels, dont des samouraïs déchus.

Cette situation a déclenché des arrestations massives, suivies d’évasions et de troubles à travers le pays. Pour contrôler cette situation, un immense établissement pénitentiaire a été érigé au milieu du lac Biwa, et les frères Kumō ont été chargés du transfert des détenus.

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Avis manga – Laughing Under the Clouds (tome 1)

Cependant, l’histoire prend une tangente inattendue, se concentrant sur un serpent démoniaque nommé Orochi, dont le retour est prévu pour semer la mort et le chaos au Japon. Ce monstre mythique est destiné à habiter un vaisseau, évoquant des drames, des mystères et des rebondissements. Notre récit évitera tout spoiler majeur, car ce manga regorge de surprises.

Ce manga captive par ses révélations intrigantes et ses rebondissements captivants. Le mystère central tourne autour de l’identité du vaisseau, tandis que d’autres énigmes persistent : qui cherche à libérer ou à sceller le navire ? Ces questionnements maintiennent un suspense constant, remettant en cause les motivations des personnages et ajoutant un rythme vif et palpitant à l’histoire.

Notre intérêt se porte particulièrement sur Tenka Kumo, le personnage principal. Sa personnalité décontractée et son côté intrépide sont attachants. Le lien entre Tenka et ses jeunes frères et sœurs, Soramaru et Chutaro, est également un point fort du récit. Soramaru, avec son complexe d’infériorité, est néanmoins parfois trop porté sur une mélancolie adolescente.

En parlant de Chutaro, sa trajectoire post-événement majeur paraît déroutante, ne semblant pas totalement alignée avec sa personnalité établie. Bien que compréhensible compte tenu des événements traumatisants, cette évolution nous a laissé perplexes.

Le manga introduit également Hirari Abeno, un policier amputé ayant des rêves énigmatiques impliquant une femme inconnue. Cette sous-intrigue, bien que captivante, semble précipitée dans son développement, suggérant un besoin de plus de temps pour être pleinement appréciée.

Certaines voix suggèrent que cette intrigue aurait pu être omise. Nous comprenons en partie cet argument, car bien qu’apportant des éléments essentiels, son intégration semble hâtive, nécessitant un approfondissement pour une meilleure cohérence. Parallèlement, le personnage de Sousei Abeno, le frère perdu de Kanda, nous intrigue, mais nous aurions apprécié un développement plus approfondi de son histoire, car il semble comporter des facettes inexploitées.

Cependant, notre principale déception réside dans la conclusion. Sans dévoiler de détails spécifiques, la fin du manga aboutit à un énorme combat de boss où l’auteur semble avoir éprouvé des difficultés à fournir une résolution convaincante pour les héros. Cette partie laisse une impression d’inachèvement et manque de crédibilité dans son explication.

En somme, bien que présentant des personnages attachants et des rebondissements captivants, ce manga pâtit de certains développements hâtifs et d’une conclusion décevante. Il a le potentiel d’approfondir davantage ses intrigues secondaires et ses personnages pour offrir une expérience plus satisfaisante.

Le manga Laughing Under the Clouds (tome 1), est disponible dès maintenant dans toutes les bonnes librairies au prix de 8.29€

Omaké Manga annonce l’arrivée de « Haikaisha, Le Poinçonneur »: Une nouvelle série horrifique japonaise à découvrir en France !

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Les éditions Omaké Manga ont récemment annoncé leur acquisition inaugurale de l’année 2024 avec « Haikaisha, Le Poinçonneur« , une série qui introduira en France les talents des mangakas Yûhei Suzuki pour le scénario et Hakaru Takarai pour les dessins.

Composée de trois volumes, cette série a été initialement publiée au Japon entre 2022 et 2023 dans le Young Magazine, ainsi que sur le site Young Magazine Web, tous deux édités par Kôdansha. Cette collaboration marque une première pour Omaké Manga avec ce grand éditeur japonais.

La ligne éditoriale d’Omaké Manga demeure fidèle à l’un de ses domaines de prédilection, à savoir les récits de série B dans le genre de l’horreur. Cette fois, le public pourra découvrir une intrigue sanglante se déroulant au sein des gares et des trains japonais.

Bien que la sortie du premier tome soit annoncée pour le printemps, aucune date précise n’a été communiquée pour l’instant.

Découvrez les nouvelles perles de Panini : Spriggan et Kore Kaite Shine !

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Lors d’une diffusion en direct sur la chaîne de Caroline Segarra hier soir, lors d’un live Twitch consacré à la série « Laughing Under the Clouds« , les éditions Panini ont révélé l’acquisition de deux nouveaux mangas excitants !

Le premier de ces deux titres est le fameux « Spriggan » créé par le dessinateur Ryôji Minagawa (connu pour son travail sur « Arms », « Peacemaker », « Kaioh Dante ») et scénarisé par Hiroshi Takashige (auteur de « Jusqu’à ce que la mort nous sépare »).

Cette œuvre avait été partiellement publiée par Glénat dans les années 1990 sous le titre « Striker ». Elle a regagné en popularité en 2022 grâce à son adaptation animée sur Netflix, bien qu’un film d’animation fût déjà sorti en 1998. Considéré comme un classique du genre, ce manga en 11 tomes a été initialement prépublié au Japon entre 1989 et 1996 dans le magazine Shônen Sunday des éditions Shôgakukan. Il a par la suite été publié sous différentes éditions. Panini prévoit de nous offrir une édition deluxe en 8 tomes, dont le premier volume sera disponible le 12 juin.

Le second manga, « Kore Kaite Shine« , permettra aux lecteurs français de découvrir pour la première fois le mangaka Minoru Toyoda, bien que celui-ci ait déjà 20 ans d’expérience dans l’industrie du manga et qu’il ait signé plusieurs séries auparavant.

Prépubliée au Japon depuis 2021 dans le magazine Gessan des éditions Shôgakukan, cette série compte actuellement 4 volumes. Il s’agit de la dernière création en date de l’auteur, ayant reçu une grande attention l’année dernière en remportant le prestigieux Prix Manga Taishô 2023, devançant ainsi « Akane-banashi« . Cette série invite les lecteurs à suivre l’histoire de lycéennes passionnées par le monde du manga, promettant une narration débordante de passion. Le premier tome sera disponible en français à partir du 21 août.

La Bande-Annonce de Nicky Larson – City Hunter: Angel Dust dévoile un aperçu alléchant avant sa sortie en salles !

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Le film d’animation Nicky Larson – City Hunter: Angel Dust, basé sur le célèbre manga City Hunter de Tsukasa Hojo, dévoile une nouvelle bande-annonce en français avant sa sortie en salles le 24 janvier. Produit par le studio Sunrise et dirigé par Kenji Kodama, déjà réalisateur du précédent film de la franchise, Angel Dust a été lancé au Japon en septembre dernier.

La bande-annonce propose un aperçu alléchant de l’univers revisité, sans trop dévoiler l’intrigue, suscitant l’enthousiasme des fans. Elle promet une adaptation fidèle tout en gardant un certain mystère.

Les attentes sont élevées quant à cette nouvelle interprétation de Nicky Larson, espérant une expérience visuellement captivante et fidèle à l’essence du manga original. Avec cette bande-annonce captivante en français, le film crée déjà un vif intérêt parmi les aficionados, suggérant une aventure passionnante à venir pour les amateurs de l’animation et du manga.